06/11/2006
LES VOCABLES
La dormance, son sein pur et glacé. Les cordes se contractent au long des giroflées gercées.
Les anatomies éclaboussent des estrapades, les chairs giclent des gibets.
Liquides, propriétés caractéristiques. Parlers blanchis.
Dans l’évidé des yeux, une convention : le repos, le trépas s’affichent comme couleurs.
Il faudra de la résolution pour régler les pendules sur l’inéluctable, codifier tous les cadrans sur le temps obligatoire.
Les affreux camelots qui ont cédé la nouvelle se frappent aux beffrois qui beuglent comme Cybèle.
Aux douze collisions se substitue le calme et sous les étoiles effarées, des guerriers sournois parviennent à nous guider dans un trouble d’escarbilles.
Le Cosmos a toussé. Il crache, s’asphyxie. La Terre s’étrangle d’élucubrations.
Au cœur des agitations, on entend claquer les faîtières du firmament, un bruit effrayant résonner dans les altitudes. Archanges hameçonnés, des séraphins frétillants se pressent sur la glèbe. S’écrasent.
Le toxique s’épand comme une empreinte souffre. Irradiations. Ire.
L'ouvrage est grignoté, nous voici déroutés… Interpellez-vous !
Il fut des saisons où tout pivotait en harmonie, les averses étaient torrides, la verdure savoureuse. Nous râpions tous les ensorcellements...
Mais les époques des époques se sont consumées, il est maintenant la saison de rentrer sagement au sablier.
1993
Les anatomies éclaboussent des estrapades, les chairs giclent des gibets.
Liquides, propriétés caractéristiques. Parlers blanchis.
Dans l’évidé des yeux, une convention : le repos, le trépas s’affichent comme couleurs.
Il faudra de la résolution pour régler les pendules sur l’inéluctable, codifier tous les cadrans sur le temps obligatoire.
Les affreux camelots qui ont cédé la nouvelle se frappent aux beffrois qui beuglent comme Cybèle.
Aux douze collisions se substitue le calme et sous les étoiles effarées, des guerriers sournois parviennent à nous guider dans un trouble d’escarbilles.
Le Cosmos a toussé. Il crache, s’asphyxie. La Terre s’étrangle d’élucubrations.
Au cœur des agitations, on entend claquer les faîtières du firmament, un bruit effrayant résonner dans les altitudes. Archanges hameçonnés, des séraphins frétillants se pressent sur la glèbe. S’écrasent.
Le toxique s’épand comme une empreinte souffre. Irradiations. Ire.
L'ouvrage est grignoté, nous voici déroutés… Interpellez-vous !
Il fut des saisons où tout pivotait en harmonie, les averses étaient torrides, la verdure savoureuse. Nous râpions tous les ensorcellements...
Mais les époques des époques se sont consumées, il est maintenant la saison de rentrer sagement au sablier.
1993
15:14 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Un petit bonjour en passant et un merci pour la poésie.
Geb
Écrit par : Gebg | 06/11/2006
Houup Geb et non Gebg
Écrit par : Geb | 06/11/2006
-
¤ ola le begue ! ¤
¤ houla oops. ¤
-
Écrit par : str. | 06/11/2006
pas mal du tout dis donc…
Écrit par : yoyostereo™ | 10/11/2006
Les commentaires sont fermés.