10/09/2012
Les sistoeurs me font de l'oeil...
Merci les Sistoeurs !!!
12:32 Publié dans CG - PUBLICATION EN REVUES | Lien permanent | Commentaires (0)
Éducation populaire, une utopie d'avenir
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Souscription abonnés (17 €)
Souscription non-abonnés (19,90 €)
Tarif normal (40 €)
Tarif réduit (étudiants, chômeurs) (35 €)
Voici un livre de référence qui retrace, grâce en particulier au précieux travail de Franck Lepage, l’épopée de magnifiques utopistes qui firent entrer leurs rêves dans le réel. Cet ouvrage a d’abord vocation de transmettre une histoire extraordinaire et méconnue, mais il veut aussi donner courage et force à tous ceux qui ne se résignent pas à la réduction des pratiques culturelles et artistiques à la production d’objets marchands ou de signes de distinction pour une élite.
Ceux qui sont conscients du fait que l’art et la culture sont des outils de civilisation aussi essentiels à l’avenir de l’humanité que la préservation de la Terre, savent qu’il nous faut puiser dans ce passé la force d’imaginer et de construire un avenir vraiment humain.
11:17 Publié dans RÉSONANCES | Lien permanent | Commentaires (0)
Nevchehirlian était en concert au festival des Passagères
Un moment fort du festival, malgré la coupure générale de courant... ou peut-être même, grâce....
10:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
08/09/2012
La secrète obscénité des jours par L'Émetteur Cie
Programmé hier soir aux festival des Passagères (Château de Marsa, Beauregard, Lot) un duo décapant, un pièce intelligente, très, drôle, très, juste ce qu'il faut de cynisme pour que le propos garde sa force, deux comédiens à la hauteur d'un texte qui va loin... Bref, c'est excellent !
de Marco Antonio de la Parra
11:20 Publié dans RÉSONANCES | Lien permanent | Commentaires (0)
07/09/2012
Lecture spéléo au Festival des Passagères - 6 au 9 septembre 2012
Du 6 au 9 Septembre 2012
Canton de Limogne en Quercy
Lecture spéléo - Grotte du Paradis - Laramière - 40 mn
Avec une première représentation exclusive pour une classe du collège de Cajarc, le jeudi 6 septembre à 14H30, puis deux autres représentations tous publics, samedi 8 à 14h30 et dimanche 9 à 11 heures.
Textes de Cathy Garcia.
Avec Fanny Mas, Hélène Poussin, Claire Géranton.
Mise en lumière Elie Lorier. Plasticien Patrick Evrard.
Encadrement spéléologie Florian Chenu
Jauge limitée à 30 personnes - Réservation indispensable
Départ du château à 14H00
Le visible et le dissimulé, le dedans et le dehors, le présent et l’intemporel, l’éphémère et l’éternité, le minéral et le vivant. Une grotte, le Quercy, le Lot. Nous descendons, une comédienne, une musicienne, des voix….poésie de l’étrange ! En collaboration avec les spéléologues de Limogne-en-Quercy, cette expérience pose des contraintes pour le public. Il s’agit de descendre, de se tordre physiquement… de ramper… un peu, de se salir, pour pénétrer dans les entrailles de la terre. Il faudra donc être capable physiquement d’y accéder. Prévoir de bonnes chaussures, vêtements chauds et confortables ainsi qu’une tenue de rechange (indispensable).
Retrouvez le reste du programme complet en pièces jointes
Merci de faire suivre cette information autour de vous !
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05/09/2012
Coup de coeur pour Vladimir Vasilev
Tirées de la série Les Fantômes du Ghetto
" N’attendez pas de voir des bidonvilles, ni des taudis sur les photos de Vladimir Vasilev. Le ghetto n’est pas constitué de logement insalubres. Il n’est pas entouré de murs en béton non plus. Un ghetto n’est pas tangible : il est avant tout une construction imaginaire. Encore faut-il affirmer que le ghetto existe parce qu’il est hanté par des être humains.
Pour comprendre ce terme réducteur trop usité, mais peu usé, Vladimir Vasilev emprunte la seule voie possible : suivre et photographier les habitants des ghettos. Parce que la VIE d’un ghetto, ce sont ses habitants et leur existence. Mais leur vie, est-elle une vie à part entière ?
Le cycle « Les fantômes du ghetto » essaie de faire allusion exactement à cette problématique-ci. Vladimir Vasilev a photographié pendant une décennie les populations défavorisées en Europe de l’Est et a suivi les habitants des ghettos dans leur environnement citadin, mais aussi dans leurs désirs et émotions. Sans prétendre qu’une vision commune peut être totalement constituée et rendue, l’auteur affirme encore une fois que l’imaginaire est l’avatar et la préjudice des fantômes des ghettos."
"Vladimir Vasilev, 32 ans, né à Stara Zagora, Bulgarie. A la suite des cours de photographie que j’ai effectués l’année de mes 15 ans, mon intérêt s’est porté vers ce domaine. Ce stage, les rencontres que j’ai pu y faire, ont été un déclic dans ma vie. A cette époque, je passais mes vacances dans la province de Bulgarie, c’est dans cet espace que j’ai tenté mes premiers clichés. Bien qu’à cette période, la voie de la photographie me passionnait, j’ai néanmoins suivis des études d’ingénieur civil, sous la pression parentale. Trois ans plus tard, en 1998, j’ai tout arrêté pour me consacrer à la photographie. J’ai été embauché comme assistant photographe et éclairagiste dans le studio publicitaire « KARKELANOV » à Sofia, Bulgarie. C’est dans ce contexte que j’ai appris la plus grande partie du métier de photographe. J’ai également participé au tournage du film documentaire « Dédiés au feu » (Réalisateur/Vasil Karkelanov), et en qualité de cameraman aux nombreuses émissions de télévision : Nebivalici, Srachno , Na Raba sur la chaine nationale BTV.
En 2001, j’ai quitté mon pays pour la France. Ce fut une longue période de régularisation de séjour et de travail dans la restauration. En parallèle j’ai continué à suivre mon chemin, la photographie. Alors que mon travail d’antan portait sur la photographie publicitaire et le cinéma, je me suis tourné vers ce que j’aimais le plus: le reportage et le portrait. Mes terrains de prédilection : mon pays, les camps tsiganes, les ghettos, les villes. Mes retours en Bulgarie sont à chaque fois plus impressionnants de part les changements qui se produisent.Aujourd’hui, mon travail se représente par les expositions suivantes : « Les deux générations », Bistrot Voyageur, Toulouse aout/septembre 2008 ; la Belle Equipe, Lyon décembre 2008 ; Galerie Cintra, Lyon janvier 2008 ; « Les portraits de l’Est », Festival Map2009, Fnac-Wilson, Toulouse mai 2000 ; « Un souffle », le Drom Festival, association Kourt’Echel, Nîmes mai 2009. En 2009 j’ai été choisis par le directeur de l’association Biz’ Art Populaire, Prune Bérest, pour exposer sur le sujet « TRACE », Laboratoire Photon, Toulouse, en parallèle avec l’exposition collective d’Yvon Lambert, Olivier Mériel, Paolo Pellegrin qu’elle a organisé sur les murs de jardin Raymond IV, Toulouse.
Actuellement je suis le lauréat du Grand Concours Photo du webzine Humanistic Report avec le reportage « EUROPE A 27 ».
Je suis photographe indépendant depuis 2008."
Son site : http://www.vladimirvasilev.com/
11:39 Publié dans RÉSONANCES | Lien permanent | Commentaires (1)
01/09/2012
Des artistes tunisiens s’attaquent à la censure par la dérision
Nadia Jelassi, une artiste tunisienne, s’est retrouvée il y a trois jours au Palais de justice de Tunis, à poser pour des photos anthropométriques, accusée de troubles à l’ordre public. De retour chez elle, elle reproduit l’humiliation vécue en se photographiant avec une règle sur le visage, et poste cette photo sur sa page Facebook.
Nadia Jelassi (via Nawaat)
Aussitôt, d’autres Tunisiens se solidarisent avec elle, et reproduisent la même scène, parfois de manière cocasse, raconte le site indépendant Nawaat.org, qui commente :
« Chaque artiste, en se soumettant virtuellement à l’épreuve anthropométrique, reconnaît qu’il peut être le suivant poursuivi en justice et accusé d’acte criminel selon l’article 121 du code pénal. »
Le « trouble » à l’ordre public dont est accusé Nadia Jelassi remonte à une exposition de juin dernier, restée célèbre parce que la galerie qui la montrait fut attaquée par des militants salafistes.
Nadia Jelassi, une artiste plasticienne, professeur et chef de département des arts plastiques à l’école des Beaux Arts à Tunis, y montrait une oeuvre représentant les bustes de femmes voilées sur des cailloux évoquant une scène de lapidation.
Nawaat rapporte qu’un autre participant à cette exposition, Mohamed Ben Slama, a été également convoqué par le juge d’instruction mais il n’est pas actuellement en Tunisie. Il avait notamment exposé un tableau où l’on voit des fourmis sortir du cartable d’un écolier. Sur le mur, ces fourmis forment des lettres transcrivant l’expression de louange religieuse « Sobhanahallah » (Gloire à Dieu).
Source : http://www.rue89.com/2012/09/01/des-artistes-tunisiens-sa...
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Sur Rue89Tunisie : les artistes, victimes expiatoires d’un climat explosif
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Sur Rue89Tribune : un revers pour la liberté d’expression en Tunisie
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Sur Rue89Le caricaturiste tunisien _Z_ : « Rien n’a vraiment changé »
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Sur nawaat.orgDes artistes tunisiens s’attaquent à l’injustice par une campagne artistique
23:47 Publié dans QUAND LA BÊTISE A LE POUVOIR | Lien permanent | Commentaires (0)
Evazine, c'est fini
Parce-que ce sont souvent, pour ne pas dire toujours, les bonnes choses qui prennent fin, Evazine c'est fini. Visible encore sur la toile pour deux ans, le formidable travail de tissage de Jean-Louis Millet via ce site s'achève, pour laisser place à d'autres aventures. Je vous invite à ce propos à visiter si ce n'est déjà fait, et à y revenir plutôt souvent
Zen Évasion http://www.zen-evasion.com
et Voix Dissonantes http://jlmi.eklablog.com
deux sites plus personnels de Jean-Louis Millet, mais néanmoins grand ouvert sur le monde, voire au-delà, d'une immense richesse et d'une tout aussi grande pertinence.
Profitez des deux années de sursis pour continuer à visiter Evazine et si vous êtes éditeurs, une très belle et originale collection de Livres d'art constituée au fur et à mesure des rencontres évazinienne ne demande qu'à venir se poser sur du beau papier ! Voir : http://evazine.com/livre_art.htm
Contact : jlmillet@free.f
La poésie est un pouvoir car pour elle on vous tue Ossip Mandelstam mort au goulag de Kolyma en 1938
...puissance & richesse ne sont jamaisallées de pair avec la poésie, peut-être est-ce pour cela qu’elle demeure si pure,
et qu’elle est parfois la seule résistance digne de ce nom. Jon Kalman Stefansson « La tristesse des anges »
Cathy Garcia Béatrice Gaudy Gaëlle Josse Anna Jouy Werner Lambersy
18:20 Publié dans COPINAGE | Lien permanent | Commentaires (1)
Mr Mondialisation
15:51 Publié dans FILMS & DOCUMENTAIRES A VOIR & A REVOIR | Lien permanent | Commentaires (0)
Else avec elle de Lou Raoul, lu par JL Millet
Else avec elle...
Else avec Lou,
avec Lou comme installée au coin de l’âtre afin de « crier en grand silence » depuis ces entre-deux mondes sensibles perceptibles des seul(e)s initié(e)s toujours « plus que prêts à l’éphémère » de la lisière de notre monde qui s’emballe vers « des espaces comme morts »
Lors avec « des chevaux dans les rêves » « si proche, si loin déjà », naît en elle ce leitmotiv « comment elle s’appelle si c’est pas Else mais aussi bien c’est bien Else »
alors Lou juste installée au coin de l’être n’écrit pas, non,elle crochète des écheveaux mêlés de mots et de syntaxes de son crochet-calame bardique afin que « la mort … se dilue dans les points de tricot »
ainsi Lou compose, point à point, carré après carré, un couvre-livre-page patchwork, de ceux d’à « l’ombre du temps révolu », dans lequel les entre-points comptent autant que les noeuds, afin de nous donner à voir « l’intérieur d’un grain de sable » et, à quelques uns, la possibilité d’y percevoir l’initié(e) qui « trébuche dans les ornière du temps, les mains pleines de la vanité de toutes choses »
Dans ce nouveau recueil, paru aux éditions Isabelle Sauvage, j’ai retrouvé cette ambiance insulaire, finistérienne et nordique si particulière de Lou Raoul que j’avais tant goûtée dans ‘’Else’’ et ‘’les jours où Else’’.
Un beau recueil pour se ‘’perdre’’ avec délice dans les pas d’une passeuse…
Publié sur http://www.zen-evasion.com/notes_de_lecture.htm
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Nouvelle traduction de ROMANCERO GITANO (ROMANCES GITANES) SUIVI DE LLANTO POR IGNACIO SANCHEZ MEJIAS, de FEDERICO GARCIA LORCA
Vient de paraître dans la Collection bilingue Hermès des Editions de l'Atlantique, dans la traduction nouvelle de MICHEL HOST (agrégé d'espagnol, Prix Goncourt 1986).
Il s'agit d'un tirage sur beau Papier de création, blanc nacré, grain subtil, 250 gr. pour la couverture, 120 gr. pour les pages intérieures.
Le tirage en est limité et numéroté.
Si vous désirez vous procurer ce livre, vous pouvez le commander aux Editions de l'Atlantique. Il vous suffit pour cela de tirer sur votre imprimante le Bon de commande mis en fichier ci-joint, Bondecommande2.pdf
de le remplir et de nous le renvoyer accompagné de votre règlement (à l'adresse notée sur le Bon).
Dès réception de ces documents, les Editions de l'Atlantique vous ferons parvenir l'ouvrage.
Sur Internet Editions de l'Atlantique :
http://mirra.pagesperso-orange.fr/EditionsAtlantique.html
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