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03/02/2013

L'ADN REMPLACERA-T-IL LES DISQUES DURS DE NOS ORDINATEURS ?

Voilà un info qui me laisse perplexe...

 

L'ADN remplacera-t-il les disques durs de nos ordinateurs ?

 

Selon les chercheurs de l'Institut européen de bio-informatique à Hinxton, au Royaume-Uni, l'ADN pourrait un jour stocker toute notre mémoire numérique de manière stable pendant des milliers d'années.

La densité de stockage de l'information de l'ADN est plus de mille fois supérieure à celle des meilleures mémoires informatiques actuelles mais ce saut technologique se heurte à la question du coût. On estime en effet que l'encodage des données dans l'ADN revient encore aujourd'hui à 8 000 euros par mégaoctet.

Mais le stockage sur ADN présente d'immenses avantages : alors que la plupart des moyens actuels de stockage numérique ne durent que quelques décennies, le mode de stockage sur ADN mis au point par ces chercheurs promet une conservation d'au moins 10 000 ans.

Pour leurs essais, les chercheurs ont ainsi encodé, à une densité de stockage d'environ 2,2 pétaoctets par gramme, un fichier MP3 avec le fameux discours de Martin Luther King "I Had a dream" et les 154 sonnets de Shakespeare (sous forme de texte ASCII). Le tout tient dans une poussière d'ADN dans laquelle les chercheurs sont parvenus à récupérer les données numériques avec une précision de 100 %.

Ces données numériques composées de successions de 0 et de 1 ont été transcrites une première fois en système trinaire utilisant des 0, des 1 et des 2. Puis à nouveau de manière à les faire correspondre aux quatre bases azotées qui composent l'ADN, en A, C, T et G. Les chercheurs ont imaginé un code d'indexation des fragments d'ADN pour éviter les erreurs de lecture.

Dans un premier temps, il est envisagé d'utiliser l'ADN pour archiver des données ne nécessitant pas un accès fréquent mais devant être sauvegardées sur plusieurs générations, comme par exemple l'emplacement des sites nucléaires dans le monde.

 

Un article de Georges Simmonds, publié par rtflash.fr

Rêve.............ou cauchemar ?

 

Transhumanisme, on y est.... des bienfaits, certes envisageables, mais avec tout le pire qu'on peut imaginer... tous les fantasmes les plus malsains de l'Homme concentrés : l'avènement du surHomme, et qui dit surHomme, dit... son contraire pour une masse d'individus, welcome dans le meilleur des mondes...

mais comme toujours, ça part d'un bon sentiment, ça chatouille notre bonne conscience, un peu comme les ogm qui allaient éradiquer la faim et la famine... la bonne blague...

 

 

Textile : ces vêtements qui nous intoxiquent

Source : http://www.bastamag.net/article2907.html

Combien de molécules chimiques dans votre pull, pantalon ou tee-shirt ? Combien de substances interdites ou jugées dangereuses pour la santé ? Les 80 milliards de vêtements fabriqués dans le monde chaque année regorgent de produits chimiques. Pour les rendre si colorés, si brillants, si faciles à repasser et si bon marché : des perturbateurs endocriniens, métaux lourds ou nano-matériaux, qui empoisonnent travailleurs du textile et consommateurs, et se diffusent dans l’environnement. Enquête sur ces vêtements qui nous rendent malades.

A l’automne dernier, quelques heures après avoir enfilé une jupe et un tee-shirt neufs, une fillette de quatre ans a vu des boutons apparaître sur sa peau, aux endroits de contact avec les vêtements. Les petits points rouges se sont rapidement étendus au reste du corps. Son visage s’est mis à gonfler. Le personnel soignant qui s’est occupé de l’enfant a d’abord soupçonné le diméthylfumarate (DMFu), un anti-fongique qui avait défrayé la chronique en 2008 et 2009 suite à l’intoxication d’une centaine de personnes, via des fauteuils. Le biocide a finalement été mis hors de cause. Quelle substance a pu provoquer de telles réactions ? Le choix est malheureusement très vaste.

Nos vêtements regorgent de molécules chimiques, dont certaines très nocives pour la santé. Mais le secteur de la confection a du mal à s’en passer. Prenons le formaldéhyde : classé dans les « substances cancérogènes avérées pour l’homme » par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), il est souvent présent dans les vêtements synthétiques, qu’il contribue à rendre infroissables, résistants et hydrofuges. Il fixe aussi les colorants : grâce à lui, pulls, jupes, et chaussettes qui ne décolorent pas à la première lessive. Problème : très volatile, le formaldéhyde provoque des irritations des yeux et des voies respiratoires, et accroît le risque de pathologies asthmatiques et de sensibilisations allergiques, même à faible dose.

Des perturbateurs endocriniens en pagaille

Derrière la mention « sans repassage », une autre molécule : les composés perfluorés (PFC), telles que les fibres téflon. Grâce à ces tensio-actifs, les graisses et l’humidité pénètrent plus difficilement dans les fibres. Et les vêtements sont plus faciles à nettoyer et à repasser. Ces composés merveilleux, qui peuplent nos gore-tex sont malheureusement des perturbateurs endocriniens, provoquant problèmes d’infertilité ou de développement, cancers, déficits immunitaires ou perturbations du développement neurologique. De nombreux textiles contiennent par ailleurs des retardateurs de flammes [1]. Pour éviter qu’ils ne prennent feu rapidement, les articles sont traités avec un mélange de substances, regroupées sous le nom de polybromodiphényléthers (ou PBDE).

Une fois passées dans le corps humain, on retrouve ces substances chimiques persistantes jusque dans le sang des cordons ombilicaux [2] . Elles altèrent l’attention, la mémoire, l’apprentissage et le comportement des animaux de laboratoire, même à des doses minimes ! Certaines de ces substances, présentes dans les vêtements de nuit (mais aussi matelas, fauteuils et rideaux) sont des perturbateurs endocriniens. Et n’oublions pas les métaux lourds, qui permettent de faire briller les vêtements et de les teindre efficacement. Ou encore les nano-matériaux, notamment le nano-argent, qui élimine efficacement les microbes. Et que l’on retrouve dans les chaussettes ou vêtements de sport, à cause de leurs propriétés anti-tâches et anti-odeurs, alors même que l’on ignore les effets sanitaires réels de ces nouvelles technologies.

Les travailleurs, premières victimes

Inhalés, ingérés ou passant à travers la peau, ces polluants touchent d’abord les salariés qui confectionnent les articles textiles. Mais il a aussi des modes indirects d’intoxication, souligne Jerôme Frignet, chargé de la campagne Detox à Greenpeace : « Une large part des polluants part dans l’eau au moment du lavage. La fin de vie de ces vêtements — brûlés ou enterrés — entraîne aussi des relargages de polluants dans l’écosystème. »

En Inde, dans la ville de Tirupur, célèbre pour ses teintureries, les ouvriers utilisent des colorants azoïques (interdits en Europe) ou chlorés. Ils manipulent ces produits et les dissolvent dans l’eau sans aucune protection. Selon les médecins locaux, rencontrés par Inge Alteméier et Reinhard Hornung, auteurs du documentaire « Du Poison dans nos vêtements », le nombre de personnes atteintes de cancer a doublé ces 10 dernières années dans la région. « Les gens souffrent ici de cancers des organes internes – reins, estomac, œsophage, col de l’utérus, sein », détaille l’un des cancérologues.

Deuxième étape toxique : les lieux d’embarquement et de réception des chaussures et vêtements. Dans les grands ports européens où débarque chaque semaine près d’un million de containers, les travailleurs respirent des quantités de substances organiques chlorées, destinées à désinfecter la marchandise et à éradiquer les parasites (champignons, rongeurs,...). A Hambourg, la médecine du travail a découvert que la moitié des containers en provenance d’Asie contenaient ces substances. Les mesures de la qualité de l’air des containers sont aléatoires, et non obligatoires. Au Havre, les douaniers se sont insurgés contre les quantités de vapeur qu’ils respirent en ouvrant les containers. Pour l’instant, les recommandations se limitent à laisser le container ouvert le temps que les vapeurs toxiques s’échappent...

370 fois la dose autorisée

Parmi les substances cachées dans nos placards, certaines sont totalement interdites. D’autres ont un usage règlementé, avec des seuils autorisés – comme le formaldéhyde, les phtalates ou les métaux lourds. Mais ces seuils sont régulièrement dépassés. Dans une enquête réalisée en 2012 [3], Greenpeace a trouvé dans des vêtements pour enfants des doses de phtalates 370 fois supérieures à la norme en vigueur pour les articles destinés aux enfants ! Utilisés pour assouplir les plastiques, ces perturbateurs endocriniens notoires sont souvent présents sur les dessins, inscriptions et décorations collés sur les pulls, tee-shirts, casquettes ou pyjamas.

Autre découverte de l’ONG : des éthoxylates de nonylphénol (NPE), dont la dose pouvait atteindre 45 000 ppm (partie par million), pour 1000 ppm autorisées ! Utilisés comme détergents, les NPE sont déversés dans les égouts lors du lavage des vêtements. Ils se décomposent alors en nonylphénol (NP), un sous-produit très toxique, bio-accumulable et perturbateur endocrinien. Identifiés par Greenpeace grâce à des contrôles complexes et coûteux, ces produits passent régulièrement nos frontières incognito. Les contrôles sont insuffisants, du fait d’un manque de moyens humains et matériels. D’autant que la présence des toxiques n’apparaît pas sur les étiquettes...

Des coupables jamais inquiétés

Alimenté en France par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), le système d’alerte européen Rapex publie chaque semaine un bilan des produits de consommation dangereux. Dans son rapport 2011, textiles, vêtements et articles de mode arrivent en tête, avec 27% des notifications, juste devant les jouets (21%), puis les moteurs (11%). Quand ils apparaissent dans la système Rapex, les articles sont généralement retirés « par les acteurs économiques eux-mêmes ». Qui ne sont pour autant jamais inquiétés.

« Si les produits sont fabriqués en Union européenne, où s’applique la réglementation Reach, un particulier ou une association qui découvrent des dépassement de seuils de substances chimiques utilisées peut attaquer la marque, détaille Jérôme Frignet. Mais si le produit est fabriqué hors Union européenne, comme c’est le cas pour un grand nombre de produits textiles, cette réglementation ne s’applique pas ! » Et « tous les Etats-membres ne signalent pas les articles défectueux », déplore le Bureau européen des unions de consommateurs (Beuc), qui estime que Rapex « mériterait d’être renforcé ».

Des entreprises qui tiennent à leur image de marque

Le Beuc réclame aussi une vigilance particulière envers les perturbateurs endocriniens. Pour Greenpeace et le Réseau environnement santé (RES), les demandes sont plus radicales : il faut les interdire. La délimitation de doses limites (comme le fait souvent la directive européenne Reach [4]) ne vaut pas pour ces substances, estiment les deux organisations.

« On reste sur le principe qui dit que "la dose fait l’effet", mais c’est injustifiée pour les perturbateurs endocriniens », explique Gilles Nalbone, chercheur à l’Inserm et membre du RES. Pour ces produits, le moment d’exposition est tout aussi important que la dose : « Les périodes de vie in utero étant particulièrement vulnérables. » Pour lui, la réduction globale de l’exposition à ces substances, qui menacent nos capacités reproductrices, est urgente. Sur cette question, il estime que la France « est plutôt en avance. Elle a été la première à interdire le bisphénol A par exemple. Et une loi est en préparation pour généraliser l’interdiction de l’exposition aux perturbateurs endocriniens. Cette façon de cibler une famille de polluants, c’est tout à fait nouveau ».

Les entreprises seront-elles d’accord ? Suite à la campagne Detox menée par Greenpeace à l’automne, des marques comme Benetton, Mango, Esprit ou Levi’s se sont engagées sur des échéanciers précis pour éliminer les produits incriminés. « Aucune d’entre elles n’a envie d’apparaître en tête de gondole de notre prochaine campagne. Leur image de marque est capitale. Et leur cible, les ados, sont très sensibles aux campagnes lancées sur les réseaux sociaux », explique Jérôme Frignet de Greenpeace. La marque Zara, premier vendeur de vêtements au monde, a assuré à Basta ! qu’elle travaille depuis des années dans cette direction. La page dédiée de son site ferait presque rêver, tant les objectifs sont ambitieux...

Réduire la pression sur les producteurs

Inditex, propriétaire de la marque Zara, « s’engage d’ici 2020 à encourager un changement systémique, c’est-à-dire social et politique, pour atteindre l’objectif de « zéro rejet » de substances dangereuses (dans la chaine de production et dans tout le cycle de vie des produits) en une génération, ou moins », peut-on y lire. Comment la marque compte-elle s’y prendre pour financer ces changements radicaux ? Osera-t-elle ponctionner son milliard d’euros de bénéfices net (chiffre de 2010), en hausse de plus de 30% en un an ? « Nous jugeons cet engagement crédible », précise Jérôme Frignet. Qui espère que l’engagement de grandes marques influenceront leurs collègues. Côté grande distribution, où s’achètent une grande partie des vêtements consommés en France chaque année, silence radio. Ni Auchan, ni Carrefour n’ont donné suite à nos (nombreuses) sollicitations.

Les grandes marques se savent sous surveillance. Mais elles ont aussi appris à ruser. La technique hautement toxique du sablage de jeans, qui permet de leur donner ce côté délavé très tendance, est toujours pratiquée, malgré les promesses, rappelle Nayla Ajaltouni, coordinatrice du collectif « De l’étique sur l’étiquette ». « Le sablage a été interdit en Turquie, où la mobilisation a été rapide et efficace. Mais il se développe au Bangladesh. Des systèmes de vérifications vraiment performants sont donc nécessaires. » Autre piste : assouplir la demande. « Les donneurs d’ordre ne peuvent pas ignorer qu’en demandant les mêmes produits, aux mêmes coûts dans les mêmes délais, ils autorisent implicitement la poursuite de l’utilisation de techniques ou de produits soi-disant interdits. »

Repenser nos modes d’habillement

Avoir des vêtements sans dangers implique de renoncer à certains standards. « Vous ne trouverez pas chez nous de vêtements d’un blanc immaculé, impossible à obtenir sans utilisation massive de produits chimiques », détaille ainsi Sabrina Cherubini, directrice marketing chez Ekyog, qui travaille depuis 10 ans sur la construction de filières textiles éthiques et sans produits chimiques. « Pour les imprimés, nous nous passons de plastisol (qui contient des phtalates, ndlr). Mais la technique que nous avons sélectionnée suppose trois passages en machine au lieu d’un seul. Nous allongeons donc les délais pour nos fournisseurs. Et payons trois jours de travail au lieu d’un. » Les coûts des produits textiles proposés par Ekyog ou encore Bleu Forêt (une entreprise située dans les Vosges qui fabrique des collants et chaussettes) « pourraient diminuer si tout le monde s’y mettait », assure Sabrina Chérubini.

Impossible de poursuivre l’achat effréné d’habits, en les passant simplement en coton bio, et colorants sans chimie de synthèse. « Si plusieurs milliards de gens voulaient des bluejeans en fibre naturelle teintée avec des colorants naturels, l’humanité devrait dédier des millions d’hectares à la culture de l’indigo et du coton uniquement pour satisfaire cette demande – des hectares nécessaires à l’agriculture », précisent Michael Braungart et William McDonough dans leur ouvrage Cradle to cradle, recycler à l’infini. « Il faut sans doute repenser nos modes d’habillement, avance Gilles Nalbone. Nous avons certes des vêtements high tech, en grande quantité et pour pas cher, mais on en paie le prix fort ensuite, en terme de santé. Évidemment, on touche là à notre modèle de société, et il y a beaucoup à faire. »

Nolwenn Weiler (@Nolwenn Weiler sur Twitter)

Photo : © George Nikitin / Greenpeace et © Ivan Castaneira / Greenpeace

Notes

[1] Voir Les fringues qui tuent, synthèse de l’association Santé environnement France.

[2] Voir Les toxiques en héritage, de Greenpeace, 2005.

[3] L’enquête de Greenpeace a porté sur 20 marques de vêtements, et a inclus des tests sur 141 produits vendus par des enseignes connues et reconnues de la mode, comme Zara, Calvin Klein, Mango, Tommy Hilfiger ou encore Vero Moda.

[4] Règlement sur l’enregistrement, l’évaluation, et l’autorisation et restriction des produits chimiques.

Conclusion du film Sous Les Pavés, La Terre (2009)

01/02/2013

Niger: 1 600 t de ferrailles potentiellement radioactives en circulation

 

La pollution radioactive perdure au Niger affirme la CRIIRAD. Selon le laboratoire indépendant, environ 1 600 tonnes de ferrailles potentiellement radioactives provenant des sites d’extraction d’uranium d’Areva au Niger dans la région d'Arlit, auraient été remis dans le circuit du recyclage des ferrailles, en toute illégalité.

« La contamination des ferrailles par des métaux lourds radioactifs associés à l’uranium tels que uranium 238, thorium 230, radium 226, plomb 210, polonium 210 entraîne une exposition des populations par irradiation externe et des risques de contamination interne en fonction des modes d’utilisation des ferrailles recyclées » affirme Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire et responsable de la CRIIRAD.


Le laboratoire demande qu’Areva fasse « toute la transparence » sur les conditions de cession des ferrailles issues des sites d’extraction d’uranium, revoie les procédures de contrôle de radioactivité des matériaux autorisés à quitter ses installations minières et s’engage à repérer et racheter les ferrailles contaminées déjà mises en vente dans le domaine public.
 
 
Source © Enviro2B

Australie Les manchots pygmées de "Granite Island" sont en voie d'extinction

Les Manchots pygmées de la petite ile touristique de "Granite Island" dans le sud de l’Australie sont en voie d'extinction totale assure Graham Philp le maire de la commune voisine de Victor Harbor.

«Nous nous devons de sensibiliser le gouvernement à cette extrême vulnérabilité de notre petite colonie de manchots pygmées de "Granite Island" », a déclaré M. Philp.

La principale menace est l'augmentation incontrôlée de la population invasive de l’otarie de Nouvelle-Zélande. Une étude a prouvé que la multiplication des otaries à fourrure a eu un impact certain sur le milieu marin de la région, et pas seulement le long de la côte sud, mais aussi sur les "Kangaroo Island".

Le dernier recensement de la population des pingouins pygmées de Granite Island en 2012 a montré un déclin rapide de la colonie, seulement 26 d'entre eux ont été comptabilisés l'année dernière" affirme M. Philp

Il rappelle que les colonies de West Island et l'île de Wright se sont dejà éteintes et que la colonie de Granite Island est maintenant trop faible pour assurer son existence et sa survie dans les conditions naturelles.

La colonie de Manly est déjà considérée comme en extrême danger et les populations de "Penguin Island" en Australie-Occidentale ont eux aussi besoin de toute notre attention.

Toute les colonie de l’Australie montrent des signes inquiétants de déclin rapide, et aucune mesure gouvernementale de protection n'a jusqu'ici était prise.


Graham Philp le maire de Victor Harbor lance un appel à l'aide et aux dons pour sauver sa petite colonie.


Il exhorte la population à écrire aux ministres d'État de toute urgence en les exhortant à appuyer l'initiative de sauvegarde dite "Car Little Penguin" avant qu'il ne soit trop tard.

10:25 Publié dans AGIR | Lien permanent | Commentaires (0)

Un entrepreneur lyonnais offre des villages provisoires aux SDF

Alain Sitbon a mis sa fortune au service des sans-abri en créant trois villages en préfabriqué pour accueillir des SDF ou des familles à la rue. Le concept de bungalows mobiles est une formule d'habitat d'urgence pour l'accueil des familles, des couples ou des personnes isolées. Les personnes hébergées sont orientées vers ce dispositif par le Samu social. Les chambres et des bungalows sont sommaires, mais disposent des équipements indispensables.

L'homme d'affaires a investi en deux ans deux millions d'euros de sa poche pour construire trois villages de bungalows, deux à Lyon (Rhône) et un à Dijon (Côte-d'Or). Un restaurant et un dispositif d'accompagnement social sont aussi disponibles sur les lieux.

Pékin : de l'air en canettes....................

Un milliardaire chinois distribue des canettes d'air dans Pékin asphyxiée

Bouffées d'air en canettes !

 

La capitale chinoise étouffe depuis trois jours sous un épais brouillard de particules nocives, après avoir connu à plusieurs reprises en janvier d'autres pics de pollution. Les autorités municipales de Pékin, mégalopole de 20 millions de personnes où circulent plus de 5 millions de véhicules, déconseillent toute sortie aux enfants, aux personnes âgées et aux résidents à la santé fragile, et en tout cas de limiter leurs déplacements.

Pour lutter contre la pollution, le milliardaire et philanthrope Chen Guangbiao, qui a bâti sa fortune sur le recyclage de matériaux de construction, a décidé de distribuer des canettes d'air dans les rues, en avertissant du danger de ne pas préserver la planète.

Mardi, les autorités locales ont affirmé avoir imposé la fermeture de 103 usines et avoir interdit à 30% du parc de voitures officielles de circuler. Ces mesures timides n'ont pas permis d'éviter un nouvel épisode de pollution préoccupant. L'ambassade des Etats-Unis, qui calcule et publie son propre indice de qualité de l'air, a jugé que la pollution atmosphérique avait atteint un niveau "dangereux" mercredi 30 janvier dans l'après-midi.

 

Pour voir la vidéo : http://www.francetvinfo.fr/video-pekin-etouffe-et-un-mill...