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05/01/2013

DEPUIS UN AN, LE CHAT DÉPOSE DES CADEAUX SUR LA TOMBE DE SON MAÎTRE

 

Insolite : Depuis un an, le chat dépose des cadeaux sur la tombe de son maître

 

On connaît les histoires de chiens fidèles à leur maître après leur mort. Depuis un an, c'est un chat, en Italie, qui se rend quotidiennement sur la tombe de son maître. Avec un cadeau.

L'histoire serait incroyable s'il n'y avait pas autant de témoins. Mais les habitants de Montagnana, un hameau de la commune de Marliana en Toscane, ne parlent plus que de Toldo. Et la presse italienne vient de leur emboîter le pas...

Toldo est un chat gris et blanc, âgé de 3 ans. Il a été recueilli, chaton, par un habitant de Montagnana, qui s'appelait Renzo Iozzelli. Celui-ci est décédé en septembre 2011, à 71 ans.

Présent à l'enterrement

Le jour de l'enterrement, Ada Iozzelli, la veuve de Renzo, a remarqué que le chat accompagnait la procession jusqu'au cimetière.

Le lendemain, elle a trouvé sur la tombe un rameau d'acacia... Elle a dit à sa fille qu'elle était persuadée que c'était un hommage de Toldo à son maître, celle-ci ne l'a pas prise au sérieux.

Mais les jours suivants, plusieurs habitants du village ont croisé Toldo au cimetière. Depuis, on le voit quotidiennement se rendre sur la sépulture de son maître.

Petits cadeaux

Plus surprenant encore, Toldo dépose parfois sur la tombe des petits cadeaux ! Des trouvailles de chat : il y a parfois des brindilles, un petit tas de feuilles, un mouchoir en papier, ou un gobelet en plastique...

Ada Iozzelli raconte que son mari était très affectueux avec Toldo. Le chat lui en est visiblement toujours reconnaissant.

 

Un article de ouest-france.fr, relayé par SOS-planete

03/01/2013

Voeux de Bernard Mayaudon

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16:27 Publié dans COPINAGE | Lien permanent | Commentaires (0)

Voeux de Survival International

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Voeux d'Isabelle Le Gouic

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Voeux de Gaël Macho

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Voeux de Lionel et Anicet

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Anicet et moi nous vous souhaitons la 13ème année des 2000

Très BELLE et BONNE avec beaucoup de sourires...

 

Vous pourrez retrouver ANICET dans les pages du journal "LE LOT EN ACTION"

tout au long de l'année et sur le site: anicetalbum.com

 

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Voeux de Alain Cotten

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Voeux de Georges Cathalo

Fin du monde ou fin d'un monde ?

 

 

          Puisque vous lisez ces quelques lignes, c'est que la fin du monde vous a épargnés. Tant mieux pour vous : ce sera pour la prochaine fois, à Bugarach ou ailleurs...

        Trêve de plaisanterie, rappelons ce que nous enseignent les historiens ou les sociologues. A les lire, l'on s'apercevra vite qu'il n'y a rien de nouveau sous le soleil et que, de tout temps, les hommes ont cherché à se faire peur en inventant toutes sortes d'âneries pour justifier leur trouille face à une apocalypse possible.

      Ce qui serait extraordinaire désormais, ce serait de contribuer à la fin de l’immonde. Mais qu'est-ce donc que l’immonde ? Rien de plus simple, voyez-vous : c'est un ensemble compact qui regroupe nos façons de vivre et de penser. L'immonde, c'est notre indifférence face aux grands bouleversements mondiaux dont nous avons connaissance en « temps réel » et que nous faisons semblant de ne pas voir.   Les beaux esprits répondront immanquablement : « Mais voyons, nous ne pouvons rien faire ni rien changer au cours des choses ». Rien de moins sûr!  Si l'on veut bien s'en donner la peine, l'on peut constater qu'il existe déjà, un peu partout, sans que cela soit médiatisé, des alternatives au monde consumériste qui nous est imposé à grands renfort d'injonctions publicitaires. Évoquons juste ici les associations de résistance active, les « indignés », les initiatives citoyennes, les SEL, les AMAP, … et tant d'autres qu'il faudrait s'efforcer de mettre en avant pour servir d'exemple sans qu'elles deviennent des modèles, sans quoi l'on en serait alors revenu aux archétypes dont l'on veut faire disparaître et qui nous sont imposés par les gens de pouvoir.

            Alors voilà : afin de nous débarrasser des immondes immondices qui traînent dans nos neurones atrophiés, il ne reste plus qu'à fixer une date et un lieu pour convenir d'une fin de l'immonde. A suivre...

 

 

Georges Cathalo – 22 décembre 2012,

lendemain de la « fin du monde » et... jour de mon 65° anniversaire

 

 

 

 

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MONSANTO A TRANSFORMÉ L'INDE EN GIGANTESQUE ET MEURTRIER LABORATOIRE

02/01/2013

Noé Nectar et son étrange voyage de John Boyne

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Gallimard Jeunesse, novembre 2012

illustrations Oliver Jeffers, traduit de l’anglais (Irlande) par Catherine Gibert

255 pages, 13 €

 

 

Voilà un roman original et atypique qui aborde, avec grâce et imagination, un sujet aussi grave que la mort d’un parent. À contre-courant des mangas et des histoires truffées de gadgets high-tech. L’étrange voyage de Noé Nectar est doté de ce qu’on pourrait appeler un charme d’antan, renforcé par les illustrations en noir et blanc qui semblent sortir tout droit d’un vieux manuel scolaire. Un récit à tiroirs, renfermant bon nombre de surprises, qui, tout en épinglant quelques travers, porte à l’honneur des valeurs humaines comme le courage, la persévérance, l’amour du travail bien fait, l’entraide, l’engagement et l’importance de la relation humaine qui est bien plus essentielle que la réussite dans le monde extérieur. En effet, rien ne sert de courir vite, si nous n’arrivons pas à temps là où nous sommes réellement attendus par ceux qui nous aiment vraiment. C’est aussi un très bel hommage au travail des mains, à l’artisanat dans ce qu’il a de plus noble.

Noé est un petit garçon de 8 ans qui quitte sa maison, ses parents, un beau matin, très tôt, bien décidé à ne plus jamais y revenir. Ce n’est pas qu’il n’aime pas ses parents, mais il refuse d’affronter l’inacceptable. C’est pourquoi il doit partir à l’aventure et très loin. Sa maison est à la lisière de la forêt et il prend donc le chemin qui s’y enfonce. Un chemin qui va le conduire presque tout droit dans un monde qu’il ne soupçonnait pas, où les arbres ont du caractère comme les objets qui sont animés et souvent dotés d’un prénom et où les animaux parlent. Après avoir traversé deux villages aussi bizarres et inquiétants l’un que l’autre, Noé qui commence à avoir vraiment très, très faim, atteint un troisième village où il fera la rencontre d’un teckel et d’un âne, qui lui aussi a continuellement très, très faim. Dans ce village, près d’un arbre plus étonnant encore que les autres, il découvre une drôle de maison toute biscornue, défiant toutes les lois de la construction. Surprise de taille, c’est un magasin de jouets ! Noé ne peut résister à l’envie d’y entrer. Là, se trouvent tous les jouets dont un enfant pourrait rêver, mais en bois. Tout est en bois, pas le moindre bout de plastique ! En bois et peint dans des couleurs tellement plus belles que tout ce qu’il connaît, que Noé ne saurait pas dire leur nom. Un magasin inquiétant lui aussi tout de même, où d’innombrables pantins semblent conspirer, où les portes se déplacent toutes seules, où les sonnettes sonnent si elles le veulent, où les pendules sont timides, où les planchers font ce qu’ils peuvent pour ne pas que vous tombiez dans le vide. Quant au coucou qui donne l’heure, c’est un véritable coucou qui entre par la fenêtre toutes les heures. Dans ce lieu extraordinaire, vit un vieil homme qui va accueillir Noé, l’inviter à manger et à qui, peu à peu, Noé va se confier. Le vieil homme aussi va lui raconter sa vie, aussi étrange et exceptionnelle que cette maison où il demeure et où avait vécu son propre père, un certain Gepetto… Et c’est ainsi que cet univers totalement imaginaire va croiser un conte que tous les enfants connaissent, celui de Pinocchio.

 

Cathy Garcia

 

 

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John Boyne est né en Irlande en 1941 et vit aujourd'hui à Dublin. Il a étudié la littérature anglaise et l'écriture. John Boyne a commencé à publier ses premières nouvelles à l'âge de 20 ans. 70 d'entre elles sont publiées. Auteur de six romans, «Le garçon en pyjama rayé» fut couronné de deux Irish Book Awards, sélectionné pour le British Book Award et brillamment adapté au cinéma. Ses romans sont traduits dans trente langues différentes.

Question d'échelle... Bonne Année !

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LA FRANCE OBLIGE LES INDUSTRIELS À DÉCLARER LES NANOPARTICULES DANS LEURS PRODUITS

C'est une première en Europe. Une amorce de régulation qui laisse encore à désirer, mais qui vient, tardivement, combler un vide alarmant. A compter du 1er janvier, les fabricants et distributeurs de produits contenant des nanoparticules devront les déclarer à l'Agence nationale de sécurité sanitaire afin d'assurer un minimum de traçabilité, d'informations au public et un recensement des produits mis sur le marché.

Alors que les nanotechnologies se répandent depuis des années dans des champs aussi variés que la médecine, l'électronique, l'énergie ou l'alimentation, cette initiative de la France ne manque pas d'inspirer d'autres pays européens, comme le Danemark – qui pourrait adopter une déclaration obligatoire dès 2014 –, la Belgique, les Pays-Bas, ou encore l'Italie, qui réfléchit à une déclaration basée sur le volontariat.

Si les Etats européens se mettent à agir chacun de leur côté, c'est que l'UE n'a pas élaboré, jusqu'ici, de régulation spécifique pour encadrer ces nanomatériaux aux propriétés nouvelles – et ce, malgré un grand flou autour des risques potentiels qu'ils font courir sur la santé et l'environnement.

En 2009 déjà, le Parlement européen demandait à la Commission de "réviser toute la législation en la matière d'ici à deux ans afin de garantir la sécurité de toutes les applications de nanomatériaux". Il estimait notamment que "la notion d'approche 'sûre, responsable et intégrée' prônée par l'Union européenne est compromise par l'absence d'informations sur les nanomatériaux qui sont déjà sur le marché".

Lire le zoom : Nanoparticules : l'ingrédient qui est discrètement entré dans nos assiettes"

SECRET INDUSTRIEL ET MANQUE DE SENSIBILISATION

S'il devenait urgent, ce premier pas de la France en laisse déjà certains sur leur faim. Comme Rose Frayssinet, du réseau écologiste Les Amis de la Terre, qui doute que, même s'il en aura désormais la possibilité, "le consommateur, bien peu sensibilisé aux nanoparticules, prenne l'initiative de rechercher s'il y en a dans sa barre chocolatée". Le gouvernement a toutefois promis "un étiquetage systématique des ingrédients nanoparticulaires" dès 2014. Une plus grande transparence donc, mais qui ne signifie pas forcément un plus grand contrôle des produits "nano" avant qu'ils ne soient mis sur le marché.

Autre point qui focalise les critiques : les seuils retenus pour qu'un produit soit soumis à la déclaration obligatoire. Il doit contenir au moins 50 % de nanoparticules – quand le Comité scientifique européen des risques sanitaires émergents recommandait une concentration de 0,15 %. Et ces nanoparticules doivent mesurer entre 1 et 100 nanomètres (nm). Aux Etats-Unis, la limite retenue par la Food and Drug Administration est de 1 000 nm, selon VeilleNanos.

Enfin, relève Rose Frayssinet, "les industriels peuvent se cacher derrière la clause de confidentialité. Donc c'est pipeau." Le secret industriel et commercial peut en effet être brandi et dispenser un producteur de déclarer la composition de son produit, ce qui rend l'obligation toute relative. Surtout si l'on considère par ailleurs le montant de la sanction en cas de non respect de la loi : 3 000 euros, avec une astreinte journalière de 300 euros. Et si l'on considère, enfin, la difficulté à contrôler les déclarations des industriels – face à une avalanche de produits divers et variés, et à des nanoparticules difficiles à détecter.

LA "PARALYSIE" FACE À UNE NANO-RÉGLEMENTATION

Dans l'industrie alimentaire, les nanomatériaux sont principalement soumis, au niveau européen, au règlement "Novel Food" : les nouveaux aliments doivent recevoir une autorisation avant d'être mis sur le marché. Toutefois, comme le relève le ministère, jusqu'ici, "aucune demande d'autorisation (...) n'a été recensée au niveau européen".

Ils sont aussi soumis, sans disposition spécifique, au règlement européen sur les substances chimiques,"Reach", en vigueur depuis 2007. Mais, selon VeilleNanos, "en réalité, les nanomatériaux sont mis sur le marché (...) sans enregistrement préalable ni suivi, en contradiction avec le principe directeur de Reach : 'Pas de données, pas de mise sur le marché'". D'une part, parce qu'il ne s'applique pas en dessous d'une production d'une tonne par an, rarement atteinte chez les "nanos". D'autre part, parce qu'il n'oblige pas à différencier le nanomatériau de son cousin existant à l'échelle macroscopique, depuis bien plus longtemps en général (par exemple, le nanoargent de l'argent). Et ce, quand bien même leurs propriétés sont différentes.

En octobre, la Commission européenne a pourtant répété que Reach était "le meilleur cadre possible pour la gestion des risques liés aux nanomatériaux", tout en concédant le besoin "d'exigences plus spécifiques", auquel elle entend répondre en modifiant des annexes "après 2013". Le Conseil européen de l'industrie chimique a applaudi cette approche. Plusieurs associations, les Verts européens et la société civile un peu moins. Le Bureau européen des unions de consommateurs, par exemple, a déploré qu'"une nouvelle fois, consommateurs et environnement aient perdu face aux objectifs d'innovation et de croissance économique".

Lire : Les nanomatériaux vont-ils échapper au filet sanitaire européen ?

En décembre, ce sont plusieurs Etats membres, dont la France, qui ont exprimé à la Commission qu'ils ne se satisfaisaient pas d'une modification annexe de Reach pour encadrer les nanomatériaux. Les voix n'en finissent plus de se joindre pour pousser l'Europe à davantage de régulation des nanotechnologies.

En juillet, ce sont des scientifiques qui, dans un article de Nature intitulé "Enough is enough" (c'en est assez), dénonçaient le flot de commandes d'études scientifiques qui, au lieu de déboucher sur l'action de l'UE, ne faisait que l'enfoncer dans la "paralysie".

Angela Bolis

Source : http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/12/31/la-franc...

01/01/2013

La monnaie -1/7 du pouvoir d'achat au pouvoir d'être - Une crise en trompe l'oeil.

Vous trouverez la suite sur youtube