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09/08/2012

FOOD, INC.

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Food Inc 1/2 par wildkillah

 


Food Inc 2/2 par wildkillah

17/07/2012

Lola, un film de Brillante Mendoza (2010)

Encore une perle du réalisateur philippin...

04/07/2012

Nos civilisations se dirigent vers un effondrement irréversible des écosystèmes terrestres


La 11ème Heure ecologie 1/3 par nature-boy-79

 


La 11ème Heure écologie 2/3 par nature-boy-79

 


La 11ème Heure écologie 3/3 par nature-boy-79

 

En se basant sur des théories scientifiques, des modélisations d'écosystèmes et des preuves paléontologiques, une équipe de 18 chercheurs, incluant un professeur de la Simon Fraser University (SFU, Vancouver), prédit que les écosystèmes de la Terre vont faire face à un effondrement imminent et irréversible.

Dans un article récemment publié dans Nature intitulé "Approaching a state-shift in Earth's biosphere", les auteurs examinent l'accélération de la perte de biodiversité, les fluctuations climatiques de plus en plus extrêmes, l'interconnexion grandissante des écosystèmes et le changement radical du bilan énergétique global. Ils suggèrent que tous ces éléments constituent des précurseurs à l'apparition d'un état planétaire de seuil ou encore d'un point de basculement[1]. Si cela s'avérait exact, ce que les auteurs prédisent pour le siècle en cours, les écosystèmes de la planète, tels que nous les connaissons, pourraient rapidement et irréversiblement s'effondrer.
"Le dernier point de basculement dans l'histoire de la Terre est apparu il y a 12 000 ans, lorsque notre planète est passée de l'âge de glace, qui a duré 100 000 ans, à un état interglaciaire", a déclaré Arne Mooers, un des auteurs de l'article et professeur de biodiversité à SFU. "A ce moment, des changements biologiques les plus extrêmes menant à notre état actuel sont apparus en seulement 1000 ans. C'est comme passer de l'état de bébé à l'âge adulte en moins d'une année. Mais la planète est en train de changer encore plus rapidement aujourd'hui".

"Il y a une probabilité très élevée que le prochain changement d'état global sera extrêmement perturbateur pour nos civilisations. Souvenez-vous, nous sommes passés de l'état de chasseurs-cueilleurs à celui capable de marcher sur la Lune dans une des périodes les plus stables et anodines de toute l'histoire de la Terre", a souligné Arne Moeers.
"Lorsque le seuil sera atteint, ce sera un point de non-retour. Ainsi, si un système bascule vers un nouvel état parce que vous y ajoutez beaucoup d'énergie, même si vous retirez ensuite cette nouvelle énergie, il ne repassera pas dans son état précédent. La planète ne possède pas la mémoire de son état précédent". Autrement dit, lorsque les activités humaines modifient le bilan radiatif de la Terre en émettant massivement des gaz à effet de serre, nous prenons un risque très élevé : celui de faire basculer brutalement tout le système climatique vers un nouvel état d'équilibre, sans que nos sociétés soient capables de s'adapter, tout comme les écosystèmes actuels.

Ces projections contredisent une croyance populaire répandue selon laquelle la pression de l'Homme sur le changement climatique qui détruit notre planète est encore contestable, et qu'un effondrement serait alors graduel et étalé sur plusieurs siècles. L'étude conclut que nous serions avisés de ne pas transformer la surface de la Terre de plus de 50%, ou nous ne serions plus capables d'inverser ce processus.

Or, nous avons aujourd'hui atteint 43% de ces changements, en convertissant les paysages en zones agricoles et urbaines. "En un mot, les hommes n'ont rien fait réellement de significatif pour éviter le pire car les structures sociales existantes ne sont juste pas les bonnes", dit Mooers. "Mes collègues qui étudient les changements climatiques induits à travers l'histoire de la Terre sont plus qu'inquiets. En fait, ils sont terrifiés"...


Source © Christophe Magdelaine / notre-planete.info

13/06/2012

Un autre monde est possible

07/06/2012

Récits de Fukushima - Alain de Halleux

Cinq récits, cinq films à voir absolument sur :

http://fukushima.arte.tv/#!/4883

chacun d'eux a en exergue un haïku tiré du livre Après Fukushima du Cercle Seegan http://fukushima.arte.tv/haikus-apres-fukushima/, des extraits avaient été publiés en janvier 2012 dans la revue Nouveaux Délits : http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/archive/2012/...)

 

Le réalisateur, Alain de Halleux

Shintaro, mon assistant japonais et moi avons pris 2 mois pour préparer ce voyage. On n’entre pas si facilement dans la maison d’un Japonais. Très affable et respectueux de l’autre, il ne dévoile pas facilement ses secrets. Au Japon, il y a deux mots qui résument très bien la chose. Honne et Tatemae, l’apparence et la vérité intérieure. Ce qu’on dit et ce qu’on pense. Et l’un ne correspond pas nécessairement à l’autre. Autre difficulté rencontrée lors de cette préparation : le Japonais ne fait confiance à quelqu’un qu’à partir du moment où il l’a rencontré. Ainsi, par exemple, pour réussir à obtenir un rendez-vous avec Nakate-san, il nous a fallu écrire une dizaine de mails et donner de multiples coups de téléphones non seulement à Nakate lui-même, mais aussi à des connaissances. Lorsque j’ai fini par le rencontrer en personne, il m’a avoué : « Alan-san, je m’étais fait de vous l’image de quelqu’un de très compliqué ! ». J’ai éclaté de rire car j’avais vécu la même expérience dans l’autre sens.
Un Japonais n’exprimera jamais que l’opinion ambiante. Il est né politiquement correct, si l’on veut. Il existe d’ailleurs une expression Kokyu rumi : lire ce qui est dans l’air. La langue se prête bien à cet exercice périlleux qui consiste à ne jamais contredire ou choquer qui que ce soit. La structure de la phrase est telle que le verbe arrive à la fin ainsi que la négation ou l’interrogation éventuelle. De plus, le Japonais possède une multitude de petits mots qui lui permettent de temporiser ou de diluer sa phrase. Ainsi, tout en parlant, il peut jauger les réactions de son interlocuteur et modifier au dernier moment le sens de son propos. Imaginons que je veuille proposer un verre de bière à mon invité, mais je ne suis pas sûr qu’il en boive. Je pourrais le vexer en sous-entendant qu’il aime ça. Mais peut-être justement n’attend-il que ça, que je lui demande justement s’il aime la bière. Comment lui proposer dès lors de boire avec moi ? En Japonais, c’est très simple. Je vais dire un truc du genre : « Vous…et bien…un verre de bière…n’est-ce pas…vous boirez… » En fonction de la mimique de mon invité, je pourrais d’une syllabe dire : « N’est-ce pas » ou « Sûrement pas ! ». Les Japonais sont donc passés maîtres dans l’art du sous-entendu et de son décryptage. Ils ont développé une intuition qui leur permet d’évaluer au plus vite l’autre. Je me souviens qu’au début de notre travail, j’avais demandé à Shintaro d’envoyer un mail de 3 lignes à Nakate pour lui proposer un rendez-vous téléphonique. Si j’ai pris 15 minutes pour écrire ce mail en anglais, c’est beaucoup. Nous sommes lundi matin. Shintaro est censé traduire ce mail et l’envoyer. Mardi matin, je lui demande s’il a des nouvelles de Nakate, si celui-ci a répondu à notre mail. Shintaro me dit qu’il ne l’a pas encore traduit. Je suis un peu ennuyé. Je me demande si Shintaro a oublié ce travail. Il me rassure. Il travaille à la traduction, mais celle-ci n’est pas encore terminée. Je lui rappelle qu’il est urgent d’entrer en contact avec Nakate. Shintaro, se vexe. Il le sait très bien. C’est pour ça qu’il prend le temps de bien traduire mon mail.
Mercredi matin, je réitère ma demande. Shintaro me rassure. Il a traduit le mail. Enfin, me dis-je, il n’est pas trop tôt ! Mais, poursuit-il, il attend le retour d’un de ses amis qui est occupé à le corriger. Quoi ?! Et quand aurons-nous cette fameuse correction ? Mercredi soir ?
Bref, le mail que j’avais écris le lundi a fini par partir jeudi. Inutile de dire qu’à ce rythme, il nous était impossible de trouver des familles qui accepteraient de nous rencontrer et d’organiser tous les rendez-vous. Je me suis fâché. Shintaro aussi ! Je ne comprenais pas encore l’importance de la première impression que l’on laisse sur un japonais. Elle est déterminante. On n’effacera jamais cette image-là, d’où l’importance de prêter attention à ne faire aucune erreur au début d’une relation.

Au bout de deux mois de travail intensif, l’agenda était en place. Départ pour le Japon. A peine arrivé à Narita, surprise ! La première chose qu’un fumeur fait après 12 heures d’avion, c’est d’aller fumer une cigarette à l’entrée de l’aéroport. Je fume depuis à peine dix secondes lorsque quatre Japonais se tournent vers moi et m’indiquent gentiment du regard une espèce d’aquarium planté sur le trottoir. C’est là que je dois aller fumer. Je me dis que cette situation ne vaut que pour l’aéroport et que dans la ville, comme partout au monde, rien ne m’empêchera de fumer dans la rue. J’arrive au centre de Tokyo. Pas un mégot par terre et pas un fumeur. Je suis pris d’angoisse. Soudain, au coin d’une rue, un « Smoker corner ». Une dizaine de personnes sont rassemblées autour d’un cendrier. L’espoir revient. Ainsi tous les deux ou trois carrefours, les autorités ont-elles installés de petites îles de survie pour fumeur. Arrive l’heure de dîner. J’entre dans un restaurant. Et là, surprise, l’atmosphère est bleue. Tout le monde fume à table en mangeant. Le monde à l’envers. Je raconte cette anecdote pour faire comprendre que les codes sont ici assez radicalement différents des nôtres. Certains en ont déduit que les Japonais sont si différents de nous qu’il est difficile d’entrer en communication avec eux. Pour ma part, j’ai vu des êtres humains, mes frères. J’ai eu d’autant moins de difficultés à créer une relation avec eux que je me suis présenter exactement tel que j’étais. Cela dit, au fur et à mesure du voyage, je m’amusais à adopter les coutumes locales, ce qui est fortement apprécié.

A Tokyo, j’ai habité chez David et Eiko qui tiennent la crêperie bretonne. Pas trop dépaysant donc. Ça me laisse le temps d’absorber mon décalage horaire. Eiko a habité en France et en Belgique. Enfin, c’est ce que je crois lorsque j’arrive chez eux. Car à peine les bagages déposées, je fonce chez David et Royoko, un couple américano-japonais. J’y tourne mes premières interviews. Je rentre à la crêperie. Je suis à l’ouest. David a fini son service et nous rentrons à son appartement. Nous buvons une bière. Je m’endors presque, mais David me dit d’attendre Eiko. Elle a tant de choses à dire. J’hésite, mais David insiste. Eiko finit par arriver vers 1H30 du matin. Cela fait déjà 30 heures que je n’ai pas dormi. Mais la conversation est si passionnante que je finis par prendre ma caméra et filmer. Quand enfin je m’écroule sur mon futon, c’est déjà l’aube.

Ensuite, j’ai déménagé à Fukushima City chez Isao, un retraité célibataire de 61 ans. C’est un ancien ingénieur en aéronautique. Il s’est fait construire une maison somptueuse dans la campagne pas loin de la ville. Je n’ai jamais vu une maison comme ça. Elle parle : « Votre bain est prêt ! ». « Bonjour ! »…même les toilettes sont électroniques. Comme le mode d’emploi décrit sur la chasse d’eau est en Japonais, impossible de la programmer. Je m’assieds à tout hasard sur la planche, en optant pour un style finalement extrêmement classique. La planche est chaude, sursaut de surprise. Il paraît que si le Japon supprimait toutes les toilettes électroniques, il pourrait supprimer 2 réacteurs nucléaires. Je ne sais si c’est vrai, mais je suis sûr que le simple fait de pisser au Japon coûte un pont en électricité…
Isao est un spécialiste de karaoké. Il a bien évidemment une installation dernier cri. De temps en temps le soir, nous buvons une bière avec lui et Rie et nous chantons. Je me sens chez moi. Isao est formidable. Il nous emmène avec sa voiture un peu partout. Il nous fait à manger. Et comme c’est un grand mangeur, je déborde de sushi, de soupe au bœuf et de pâtes. Si les deux trois premiers jours à Tokyo, j’ai fait très attention à la provenance de la nourriture, je dois bien avouer que j’ai vite baissé la garde. On comprend dès lors l’attitude de la population de Fukushima après un an…la radioactivité est non seulement invisible, mais elle a aussi la faculté de nous rendre amnésique.

Par Alain de Halleux, réalisateur

 

02/05/2012

La Mort est dans le pré -extrait "je ne mange pas ce que je produis"

08/04/2012

Le système bancaire mondial ! -part 1 /4 -

17/03/2012

Syrie, dans l'enfer de la répression à voir en ce moment sur Arte +7

Pour la première fois depuis le début de la révolte en mars, une journaliste indépendante a pu, en août dernier, se rendre en Syrie, pays interdit aux médias. Munie d'une petite caméra HD, Sofia Amara a suivi au quotidien le travail des comités de coordination de la révolution. À Damas et à Homs, elle a filmé l'organisation des manifestations à la sortie des mosquées. À Rastan, elle a rencontré des officiers entrés en résistance, qui affirment avoir constitué une "armée libre" pour tenter de s'opposer à la répression. À Hama, elle a pu mesurer la violence du régime : bombardements de civils, tirs à balles réelles sur les manifestants, détentions arbitraires, exécutions sommaires, tortures... Dans le quartier de Kaylaniya, elle a rencontré les familles de victimes du massacre de 1982, qui ont été enterrées dans des jardins publics.
Ces images et ces témoignages montrent pour la première fois l'implication de membres du Hezbollah libanais et de gardiens de la Révolution iranienne dans les massacres. À la manière d'un carnet de route, ce film raconte aussi les coulisses d'un voyage à haut risque, montrant les dangers encourus quand on filme une manifestation ou les ruses inventées pour rencontrer les activistes. Autant d'éléments qui rendent compte de l'atmosphère de terreur qui règne dans le pays.

http://videos.arte.tv/fr/videos/syrie_dans_l_enfer_de_la_...

 

 

15/03/2012

La Source des femmes

05/03/2012

LE COCHON DE GAZA


Le cochon de Gaza Bande-annonce par toutlecine

23/02/2012

Pactes avec le diable, un documentaire de Steeve Baumann

Grâce à l' ouverture d'archives des Services secrets américains, d'édifiantes révélations sont désormais accessibles aux historiens. Ce documentaire d'investigation dévoile tout ce que les alliés savaient du génocide des Juifs et ce qu'ils ont voulu cacher. De plus, ce film révèle que des banques américaines ont, elles aussi, spolié de nombreux Juifs pour s'enrichir, tout en cherchant à étouffer ces faits accablants. 
Les alliés ont-ils signé des «PACTES AVEC LE DIABLE» pendant et après la Seconde guerre mondiale? 
Ecoutez le témoignage accablant du directeur de recherche de la commission Eizenstat chargé de faire la lumière sur les relations entre les banques américaines et l'Allemagne nazie. 
Découvrez comment certaines banques américaines se sont enrichies avec l'argent des victimes de l'Holocauste et la manière dont elles étouffent encore le sujet 60 ans après. 

http://www.dailymotion.com/video/xdgwsx_pactes-avec-le-di...

Invisible empire, un documentaire de Jason Bermas

Nouvel Ordre Mondial, quézaco ?

http://www.dailymotion.com/video/xczi4p_1-12-invisible-em...

12/02/2012

ALTIPLANO, un film magnifique !

11/02/2012

Les films de Jean-Yves Bilien

 

30/01/2012

Le Revenu de Base - Film en VF

18/01/2012

Les Arrivants, Documentaire sur le Centre D'accueil des Familles Demandeuses d'Asile la CAFDA

26/12/2011

Arte : Looking for Sarkosy - le documentaire à voir absolument !

Mercredi 21 décembre, Arte diffusait un documentaire de William Karel qui a dû faire grincer des dents à l’Elysée… Des journalistes étrangers livrent leur regard sans concession sur notre président…

« Jamais un président de la République française n’a autant éveillé la curiosité des médias étrangers. L’actualité, certes, s’y est gracieusement prêtée. De la présidence de l’Union européenne à la gestion de la crise financière, de la chasse aux Roms à ses amours agitées, les journalistes étrangers ont eu de nombreuses occasions de scruter la personnalité et la carrure de chef d’État de Nicolas Sarkozy. Intriguée par « l’homme de la rupture » – rupture avec une partie de l’héritage historique de la droite, avec la conception traditionnelle de la fonction présidentielle, mais aussi avec certaines valeurs françaises -, la presse étrangère s’étonne, quand elle ne s’effraie pas, devant sa pratique du pouvoir. Entre excès de bling bling, communication à outrance, « pipolisation », dérapages, le président français aurait tout du personnage de soap-opera, si l’on en croit le quotidien britannique The Independent. »

Voir le documentaire :

http://videos.arte.tv/fr/videos/looking_for_nicolas_sarko...

12/11/2011

INTO ETERNITY - (Nucléaire, Onkalo) Michael Madsen - Documentaire

03/11/2011

Sa Majesté Minor de JJ Anaud


Sa Majesté Minor par yahuuuuuu

Incendies de Denis Villeneuve

D'après la pièce de Madji Mouawad,

un véritable chef d'oeuvre à tout points de vue !!!

 



Voir le site ici : http://incendies-lefilm.com/#/bandeannonce