10/10/2010
La chaussure au milieu de la route de Stéphane Beau
Stéphane Beau est heureux de vous informer de la publication, aux éditions Durand-Peyroles, de son second livre :
La Chaussure au milieu de la route
Il s'agit d'un recueil de nouvelles, sous titré : Variations solipsistes.
Onze nouvelles, onze variations autour d’un même thème : le solipsisme, défini comme étant le constat que, quoi qu’ils fassent, disent ou pensent, les hommes sont condamnés à être de perpétuels étrangers : aussi bien vis-à-vis des autres que d’eux-mêmes. Onze histoires, donc, mettant en scène des individus enfermés en eux-mêmes, ne parvenant plus à différencier leurs rêves et la réalité, leurs illusions et leurs désillusions, la raison et la folie… Onze destins confrontés à l’absurde et saisis au moment où ils atteignent leur point de rupture. Certains des héros des nouvelles rassemblées dans La Chaussure au milieu de la route trouveront une échappatoire. D’autres se briseront ou sombreront dans la folie… Onze histoires simples, directes, sans effets de style, qui se lisent d’une seule traite, mais qui laissent dans la bouche un goût amer et auxquelles on songe et resonge encore longtemps après avoir tourné la dernière page…
Le volume coûte 14 € et peut être commandé directement auprès des éditions Durand-Peyroles, pour celles et ceux qui souhaiteraient recevoir un exemplaire dédicacé.
Retrouvez une de ces nouvelles dans la revue Nouveaux Délits n°39
Le Coffret - A l'aube de la dictature universelleNous vous rappelons que le précédent ouvrage de Stéphane Beau, Le Coffret, à l'aube de la dictature universelle (Editions du Petit Pavé) est sélectionné pour le festival du premier roman, à Draveil en novembre. Il est toujours disponible : avis aux amateurs.
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Blog de la revue Le Grognard : http://legrognard.hautetfort.com/
Non de Non (Webzine) : http://www.nondenon-webzine.blogspot.com/
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09/10/2010
Cassandre/Horschamp 83
(Panorama des résistances / Nouvelle étape)
Le numéro 83 de Cassandre/Horschamp est consacré aux différents modes de résistance (et d'invention) culturelle et artistique dans tous les domaines, des arts plastiques au cinéma en passant par l’édition,
la danse et le théâtre…
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Parution le 15 octobre 2010
Pour le commander en ligne
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L’accaparement des terres en Amérique latine
L’Amérique latine a une longue histoire de conflits fonciers et de luttes des peuples indigènes pour défendre leurs terres ancestrales. C’est aujourd’hui un nouveau chapitre de cette histoire qui s’ouvre : Une nouvelle razzia sur les terres est en train de se produire en Amérique, mais cette fois, tout se passe à distance et sous un voile de “neutralité”.
En Amérique latine, comme partout ailleurs dans le monde, les communautés subissent actuellement une nouvelle forme d’invasion de leur territoire. Les envahisseurs ne sont pas les descendants des conquistadors européens qui s’approprièrent les terres, accumulèrent les esclaves et pillèrent les domaines coloniaux. Ce ne sont pas non plus les grands finqueros (propriétaires de grands domaines) des 19 et 20èmes siècles qui agrandirent leurs propriétés en taillant dans les territoires des peuples indigènes et en créant de vastes plantations destinées à produire et exporter des marchandises telles que la canne à sucre, le café, le cacao, la banane, le sisal, la résine, le caoutchouc et les bois tropicaux. Le système s’appuyait sur ce qu’on a appelé le « travail gagé », autrement dit un travail forcé, exercé dans des conditions dignes de l’esclavage. Les nouveaux propriétaires fonciers ne sont pas non plus ceux qui ont introduit l’agriculture industrielle en Amérique latine et exploité les savoir-faire ancestraux des populations locales afin d’adapter leurs méthodes au nouvel environnement et au climat.
Ces personnages s’étaient enracinés sur “leurs” terres et leurs domaines ; ils étaient physiquement présents et politiquement puissants dans la région. Ils se battaient sans cesse entre eux pour consolider leurs fiefs, provoquant de nombreuses victimes chez les soldats. Ils se faisaient des ennemis ou forgeaient des alliances pour étendre leur mainmise sur l’eau, la main d’œuvre, le commerce, les élections, les politiques publiques et l’accès aux terres, sans se préoccuper le moins du monde des droits et de la vie d’autrui. Toutefois, ces grands seigneurs vivaient sur leurs domaines ou du moins s’y rendaient fréquemment et ils étaient de ce fait obligés de faire face personnellement à la résistance et aux rébellions des populations qui avaient été envahies et dépossédées de leurs biens. Il ne viendrait à l’idée de personne de les regretter, mais les communautés qui leur résistaient pouvaient au moins le faire de façon directe ; elles savaient contre qui se battre, savaient aussi où et à quel moment il fallait se battre.
L’Amérique latine a une longue histoire de conflits fonciers et de luttes des peuples indigènes pour défendre leurs terres ancestrales. C’est aujourd’hui un nouveau chapitre de cette histoire qui s’ouvre : Une nouvelle razzia sur les terres est en train de se produire en Amérique, mais cette fois, tout se passe à distance et sous un voile de “neutralité”. Aujourd’hui, comme l’indiquent clairement les brochures gouvernementales, les accapareurs de terres avancent l’argument de l’insécurité alimentaire et prennent pour prétexte une crise alimentaire « qui nous oblige à faire pousser la nourriture là où nous le pouvons ; mais même si cela nécessite de délocaliser la production, c’est pour le bien de nos concitoyens que nous rapatrions cette nourriture. » Mais en creusant un peu, on se rend très bien compte que derrière tout cela se cache un monstre financier. Les accapareurs de terres sont en fait de grandes entreprises et des partenariats qui investissent de gigantesques sommes d’argent dans la terre, la production alimentaire, les exportations de marchandises et la spéculation sur les marchés de l’alimentation.
Au cours des dernières années, ces investisseurs étrangers se sont emparés de millions d’hectares cultivables en Amérique latine pour y produire des cultures vivrières et des agrocarburants destinés à l’exportation. Une grande partie de l’argent provient de fonds de pension américains et européens, de banques, de fonds de capital-risque et de riches individus comme George Soros. L’argent passe par des véhicules d’investissement agricole mis en place à la fois par des entreprises étrangères et par des entreprises locales. La plus grosse compagnie sucrière du Brésil, COSAN, possède un fond spécialisé dans les investissements agricoles : Le Radar Propiedades achète des terres brésiliennes de la part de clients comme le Teachers’ Insurance and Annuity Association - College Retirement Equities Fund of the US.[TIAA-CREF, l’un des plus grands fonds de pension privés des États-Unis].Louis Dreyfus, l’une des plus grosses multinationales céréalières du monde, propose un fonds similaire dans lequel American International Group [AIG, chef de file mondial de l’assurance et des services financiers] a investi au moins 65 millions de dollars US. Tandis que l’attention des médias se concentre sur les cessions de terres en Afrique, l’Amérique latine est l’enjeu d’au moins autant d’argent et la cible de projets encore plus nombreux : Les investisseurs prétendent que leurs investissements fonciers y sont plus sûrs et moins controversés, parce qu’ils choisissent de fermer les yeux sur les luttes incessantes qui se jouent dans presque tous les pays du continent pour assurer l’accès à la terre. Un nombre croissant d’investisseurs et de gouvernements d’Asie et des pays du Golfe concentrent leurs efforts sur l’Amérique latine qu’ils considèrent comme un endroit suffisamment sûr pour y délocaliser leur production alimentaire.
La plupart des gouvernements d’Amérique latine accueillent ces changements à bras ouverts et envoient même régulièrement des missions diplomatiques à l’étranger, pour y vanter les avantages des investissements fonciers dans leur pays. Le ministre brésilien du Développement, Miguel Jorge, a récemment déclaré à des journalistes : « Des princes saoudiens que nous avons rencontrés l’an dernier […] ont expliqué au président Lula qu’ils n’ont pas l’intention d’investir dans l’agriculture au Brésil pour vendre ici, au Brésil ; ce qu’ils veulent, ce sont des sources de production alimentaire. Ils ont besoin de nourriture. Ce serait ainsi beaucoup plus efficace qu’ils investissent dans l’agriculture brésilienne et que nous devenions les fournisseurs directs de ces pays ».[1]
Le Brésil n’est pas seulement une cible pour les nouveaux accapareurs de terres : il fait aussi partie des accapareurs. En effet des investisseurs brésiliens, soutenus par le gouvernement, achètent des terres dans un nombre croissant d’autres pays d’Amérique latine ou en Afrique pour y produire de la nourriture et des agrocarburants. Juste à côté, en Guyane par exemple, le gouvernement brésilien finance la construction de routes, de ponts et d’autres infrastructures pour ouvrir la savane de Rupununi, qui est d’une grande fragilité écologique, à des projets agricoles à grande échelle qui serviront à l’exportation vers le Brésil. La semencière multinationale Rice Tech a fait des démarches auprès du gouvernement guyanais pour obtenir quelque 2 000 hectares de terres dans la même région, un écosystème fragile et riche en biodiversité qui abrite plusieurs populations indigènes. Des producteurs de riz brésiliens, qui sont en train de négocier avec le gouvernement guyanais des baux de 99 ans sur de vastes zones de la savane de Rupununi, ont été récemment obligés par la Cour suprême du Brésil d’abandonner des terres prises illégalement à des communautés indigènes à Raposa Serra do Sol au nord du Brésil [dans l’État de Roraima, voisin de la Guyane].[2]
Cette façon de faire des affaires procure aux anciens envahisseurs et propriétaires terriens de nouveaux moyens d’acquérir des terres avec moins de risques économiques et politiques, et leur confère une nouvelle “respectabilité” d’“investisseurs étrangers”.
Comment se soustraire à ses responsabilités
Les enjeux de cette nouvelle vague d’accaparement à grande échelle sont considérables. Cette razzia porte une atteinte sévère à la souveraineté nationale. Tout pays qui vend ou loue de vastes surfaces de terres cultivables, par l’intermédiaire de contrats à long-terme, à un autre pays ou une entreprise étrangère, met en danger sa propre souveraineté nationale. Ce genre d’accord accélère encore le démantèlement global de l’État - de plus en plus de services sont supprimés, privatisés ou transformés, pour satisfaire les intérêts du monde des affaires – et favorise en même temps la dépossession territoriale de nombreuses populations et communautés. La main d’œuvre se trouve donc disloquée et la migration s’intensifie. Le fait que les gouvernements ou les investisseurs privés s’approprient les terres pour y faire des cultures vivrières destinées à l’exportation, provoque aussi un démembrement de la production alimentaire. Les investisseurs arrivent avec leurs tracteurs et leurs semences, voire même leurs ouvriers ; ils se servent de l’eau et extraient les fruits du sol du “pays-hôte”, pour les ramener dans leur propre pays ou les vendre sur les marchés mondiaux. Les pays-hôtes ne peuvent pas être considérés comme des “exportateurs” au sens habituel du mot, car ni le pays ni les populations locales ne sont vraiment impliqués dans les projets. Il s’agit juste de terres que les multinationales exploitent, sans restriction aucune, pour amasser leurs propres bénéfices.
Cependant, les terres ciblées ne sont jamais vides ou inutilisées ; on ne peut pas dire que les populations locales, qui n’ont déjà pas un accès suffisant à la terre, n’en aient pas besoin. La première question à poser est donc de savoir qui sont les propriétaires ou les gardiens de ces terres qu’on accapare ou qu’on contrôle à distance. Comment se fait-il que nos gouvernements puissent mettre de telles surfaces à la disposition d’entreprises ou de gouvernements étrangers ? Ces terres sont elles propriété privée ? Ou bien les gouvernements ont-ils décidé tout simplement d’exproprier, pour pouvoir signer des accords commerciaux comme cela les arrange ? Apparemment, les terres ne sont que louées, et non vendues, mais quelle différence cela fait-il d’être effectivement vendu ou d’être loué pour 50 ou 99 ans ? Les preneurs à bail rendront au pays-hôte une terre qui sera non seulement ruinée et vidée de toute substance, mais dont il devra en plus assumer les coûts de restauration. L’accaparement des terres favorise l’expansion d’un modèle d’agriculture industrielle extrêmement destructeur.
La nouvelle vague d’invasion des terres complique les choses pour les populations quand il s’agit de défendre leur territoire. L’envahisseur est plus difficile à identifier. Les mécanismes juridiques dont disposent les communautés pour se défendre contre la dépossession, la dévastation ou la pollution manquent de clarté. Même quand il est possible d’identifier les investisseurs, la distance et des structures juridiques complexes leur servent de protection contre les communautés. Les communautés ou les associations n’ont pas leur mot à dire quand il s’agit de définir le moment ou le lieu de la “bataille” contre un investisseur.
L’État, au lieu de protéger ses populations, protège les investissements des entreprises et des gouvernements étrangers, en criminalisant et en réprimant les communautés qui défendent leur territoire. Les frontières perdent ainsi leur signification. Les structures de l’État “hôte” servent les intérêts des nouveaux “patrons”, non pas sous forme de tribut comme dans l’ancien système colonial, mais à travers le nouveau système commercial néo-libéral, où lois et règles sont fixées par des accords de libre-échange et des traités d’investissement qui remplacent les constitutions nationales et même la législation internationale.
La plus grave des conséquences à long terme de cette nouvelle vague d’accaparement est sans aucun doute l’extension de la mainmise des multinationales sur la production alimentaire. Au cours des cinquante dernières années, les grandes entreprises ont monté les fondations et aujourd’hui elles s’apprêtent à récolter les bénéfices. L’accaparement des terres n’est pas simplement la dernière opportunité de se lancer dans des investissements spéculatifs qui permettent d’engranger rapidement des bénéfices énormes ; il fait partie d’un processus plus long qui va permettre aux entreprises de l’agrochimie, de la pharmacie, de l’alimentation et des transports de prendre le contrôle de l’agriculture.
C’est pourquoi les communautés autonomes prêtes à défendre leur territoire et leurs systèmes de gestion des terres communales représentent une véritable menace pour ce genre de projet. Les organisations qui insistent sur l’importance de la souveraineté alimentaire, sur des bases communautaires, comprennent que cela devient un exploit irréalisable dans des pays ou des régimes qui permettent et encouragent l’accaparement des terres. Les communautés indigènes d’Amérique latine savent que sans le contrôle de leurs propres terres, elles perdent le contrôle de la production alimentaire et que leur système agricole devient tout simplement une nouvelle forme de métayage. Un nombre croissant de communautés exigent donc d’avoir le contrôle de leurs terres pour y faire leurs propres cultures, en utilisant et en échangeant leurs semences indigènes et les savoir-faire locaux. Elles exigent d’avoir le contrôle de l’eau, des forêts, des sols, des villages et des chemins. Elles réclament aussi l’autonomie et que les décisions soient prises en assemblée.
Par opposition, les nouveaux accapareurs de terres veulent restreindre encore les biens communs. Ils veulent démanteler nos relations et nos liens. Ils n’ont même plus besoin d’envahir : ils n’ont qu’à signer des accords commerciaux. Ils n’ont plus besoin d’assurer l’entretien d’esclaves : ils savent qu’ils peuvent compter sur une abondante main d’œuvre à bon marché. Ce n’est plus à eux d’écraser les rébellions : les gouvernements-hôtes s’en chargent, ou au besoin, les hommes de main fournis par des entreprises spécialisées dans ce genre de service. Le néolibéralisme est l’invention sans cesse renouvelée de procédés permettant de s’exonérer de toute responsabilité. Si nous voulons renverser la situation, il nous faut fonder l’avenir sur le sens des responsabilités.
1 Alexandre Rocha, “Brazilian Minister : Arabs are great opportunity”, ANBA, 8 February 2010 : http://farmlandgrab.org/11020
2 “Expelled Brazil rice farmer looking to shift operations to Guyana”, Stabroek News, 14 May 2009 : http://www.stabroeknews.com/2009/stories/05/14/expelled-b...
Source : Grain http://www.grain.org/articles/?id=63
11:32 Publié dans LATINA AMERICA | Lien permanent | Commentaires (0)
Deux bijoux coréens présentés sur Brouillons de Culture
A découvrir et à voir absolument !
http://brouillons-de-culture.over-blog.org/article-housemaid-et-poetry-deux-joyaux-coreens-58246328.html
A mon humble avis, le cinéma coréen est un des cinémas les plus inventifs, à la fois un des plus poétiques et des plus osés, un des les plus vivants en somme, et donc intéressants, de notre époque !
10:40 Publié dans FILMS & DOCUMENTAIRES A VOIR & A REVOIR | Lien permanent | Commentaires (0)
04/10/2010
Des notes confidentielles d'EDF attestent de la dangerosité du réacteur EPR et de tous les réacteurs nucléaires en France.
http://www.sortirdunucleaire.org/
Le Réseau "Sortir du nucléaire" a reçu le lundi 27 septembre 2010 des documents internes à EDF qui démontrent que la conception et la fabrication d'éléments du couvercle de la cuve de l'EPR de Flamanville sont de nature à provoquer un accident de type Tchernobyl.
Plus grave encore, selon une note rédigée par le Chef du Département combustibles nucléaires d'EDF en 2001 (1), un accident de type Tchernobyl est possible sur tous les réacteurs nucléaires français. L'EPR est également concerné.
Plusieurs documents EDF démontrent que le nombre de soudures et le type d'acier utilisé dans certaines parties du couvercle de la cuve du réacteur EPR à Flamanville peuvent provoquer une fuite de cette cuve. EDF juge que cette fuite peut, à son tour, dégénérer en un accident de type Tchernobyl. L'acier défaillant et les soudures font partie du système d'arrêt d'urgence du réacteur nucléaire EPR et concernent 89 points d'entrée dans la cuve du réacteur.
Les documents EDF reçus par le Réseau "Sortir du nucléaire" démontrent que les ingénieurs d'EDF ont conçu des parties du couvercle de la cuve de l'EPR qui mettent en péril la sûreté du réacteur EPR et violent, en toute connaissance de cause, la réglementation française (2) relative aux équipements nucléaires sous pression.
Pour le Réseau "Sortir du nucléaire", la conclusion s’impose : en toute conscience des problèmes, EDF persiste dans une politique qui sacrifie la sûreté aux impératifs économiques ! Au regard des conséquences catastrophiques d’un éventuel accident, cette légèreté est impardonnable.
Failles de conception, toxicité accrue des déchets, atteinte de limites technologiques, vulnérabilité à des attentats (voire au cyber-terrorisme)… Avant la remise par EDF du rapport de sûreté sur Flamanville, le Réseau "Sortir du nucléaire" souhaite rappeler la liste de tous les problèmes du réacteur. En France, en Finlande et ailleurs, il est urgent de mettre définitivement fin au programme EPR, et d’engager la transition vers un futur sans nucléaire.
Interrogée par l'AFP, EDF n'a pas démenti ces informations alarmantes.
Le Réseau "Sortir du nucléaire" prépare donc une lettre à l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN).
- Lien vers les documents EDF et notre analyse détaillée : http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/EPR-revelations...
- Soutenir le Réseau "Sortir du nucléaire" : http://www.sortirdunucleaire.org/dossiers/soutien.html
(1) Management des activités Physique des Coeurs et Combustibles, SEPTEN, André Berthet (20.12.2001).
(2) violations de l'arrêté du 12 décembre 2005 relatif aux équipements sous pression nucléaires.
20:40 Publié dans NUCLEAIRE | Lien permanent | Commentaires (0)
26/09/2010
Soutenir la maison de la résistance à la poubelle nucléaire à Bure
Le Réseau "Sortir du nucléaire" et l'association Bure Zone Libre sont partenaires de la maison de résistance à la poubelle nucléaire de Bure dans la Meuse.
Les premiers déchets radioactifs pourraient arriver à Bure d'ici 2025 si nous ne continuons pas à nous mobiliser.
Cette ancienne ferme lorraine de 600 m2, située au coeur du village de Bure, fait l'objet de gros travaux de rénovation pour accueillir militants et sympathisants de la lutte antinucléaire.
Les travaux avancent à grands pas (salle multi-activités, dortoir, cuisine d'été, bibliothèque, cuisine...) *
Nous avons besoin de votre aide !
• Appel à don de matériels :
- pelles, pioches, brouette, divers outillages de bricolage et de jardinage.
- cuisinière à gaz (si possible 6 feux)
- matelas 90 X 140 cm
- petites lampes de bureau et de chevet, petit bureau, petites commodes
- mini chaine hifi qui fonctionne, vélos en état
• Appel à bénévoles pour travaux :
- toiture de la salle multi-activités
- isolations intérieures (chanvre, fermacell)
- entretien, rénovation de Ginette, l'éolienne individuelle auto-construite.
Merci de préciser à l'avance ce que vous pouvez apporter à Bure ou quand vous pouvez apporter une aide bénévole.
Justine et Franck, permanents bénévoles de la maison de Bure, assurent un accueil fantastique !
=> Contactez sans tarder la maison de Bure :
Tel. 03 29 45 41 77
Mail : leherissonvengeur@gmail.com
* Pour en savoir plus sur les travaux et l'actualité de Bure Zone Libre : http://burezoneblog.over-blog.com/
11:17 Publié dans AGIR, NUCLEAIRE | Lien permanent | Commentaires (0)
24/09/2010
Soutien au cirque Romanès…
Lundi 4 octobre 2010 à 19h30
L’existence du Cirque est menacée !
Soirée de soutien au Cirque Romanès à 19h30
« LES TSIGANES TOMBENT DU CIEL »
Participation libre
Ils veulent nous mettre dans l'avion. Notre existence est menacée !!!
Le Cirque Romanès a besoin de VOUS, SOUTENEZ-LE !
Chapiteau Cirque Romanès
Au niveau de 42-44 Boulevard de Reims, Paris 17e (angle rue de Courcelles )
Métro : Porte de Champerret
Tel : 01 40 09 24 20
Site Internet : www.cirqueromanes.com Myspace : http://www.myspace.com/cirqueromanes
Merci pour tout. Je vous embrasse de tout mon coeur,
Délia « La Terrible ».
18:43 Publié dans AGIR | Lien permanent | Commentaires (0)
L’impensé dont Arkoun est le nom
CHRONIQUE DES DEUX RIVES
Par ABDELMADJID KAOUAH
Algérie News j e u d i 2 3 s e p t e m b r e 2 0 1 0 - N ° 7 2 0
La disparition de Mohammed
Arkoun a mis en lumière l’importance
et l’originalité de son travail
de recherche et de critique islamologique.
L’éminent penseur d’un
Islam humaniste, formule qu’il
préférait à celle de«l’Islam des Lumières», en
vogue dans les médias français, qualifiait sa
démarche comme une «islamologie appliquée»
située entre l’anthropologie appliquée de Roger
Bastide et le rationalisme appliqué de Gaston
Bachelard .Nous n’aurons pas ici dans ces colonnes
la prétention de faire le tour de son oeuvre à
la fois abondante et profonde. Sa mort, tout en
soulignant son apport à une lecture dialectique
de l’Islam au regard de l’histoire, a été , semblet-
il, le déclic d’une vaste prise de parole (articles
de presse, communications, hommages, conférences
etc.) sur les enjeux et les défis qui interpellent
le musulman dans un univers à la fois
post-industriel; mais où ce dernier reste
confronté à de larges pans du féodalisme. Si ce
n’est sur le plan économique et social (il suffit de
voir le sort des populations musulmanes au
Bengladesh, en Afghanistan en guerre perpétuelle
contre des «envahisseurs» et contre luimême,
voir au Pakistan, le pays rêvé de la fraternité
musulmane par le grand poète Mohamed
Iqbal, aujourd’hui plutôt proche du cauchemar
national …), il suffit de faire un rapide inventaire
des rigidités intellectuelles et idéologiques,
des pratiques désuètes et intolérables qui sévissent
dans des pays qui croulent sous la consommation
octroyée par la manne pétrolière mais
régis culturellement par un rigorisme étouffant
où le cinéma n’a pas droit de cité, où la femme
est interdite de conduire un véhicule etc., voire
d’être lapidée, répudiée, n’héritant qu’à moitié…
Or, il est dit dans la Révélation coranique
que les Arabes sont «ahsène oumma oukhrijate li
nas»…Dans le monde arabe comme le fait
remarquer Yassin Temlali dans son texte :
«Arkoun, Abou Zeid et El Jabéri : incompris en
Occident comme dans leurs propres pays ( El-
Watan, 17 septembre 2010) : «En l’espace de
quatre mois, trois grands penseurs nous ont quittés.
S’ils ont formé quelques dignes disciples, ils
n’ont réussi ni à refonder la pensée musulmane»
ni à endiguer la vague d’intolérance qui déferle
sur leurs pays qui conclut : «Ces penseurs ont eu
moins de chance que leurs ancêtres de l’âge d’or
islamique, les moutazilites.» Verdict amer qui
reflète l’état dans lequel se débat le monde
arabo-musulman sommé de retourner à des
sources pour le moins troubles, sinon polluées
par la passion idéologique et politique. On sait,
singulièrement, en Algérie de quel prix se paie
de telles régressions qui n’ont fécondé que l’horreur.
Mais revenons à la modeste visée de cette
chronique. La disparition de Mohammed
Arkoun a eu, pour ainsi dire, le droit de donner
de la parole à une pensée riche, variée, contradictoire,
éclairante sur les enjeux de société dans
le monde arabo-musulman. D’habitude, (et le
ramadhan, mois sacré par excellence, qui vient
de s’achever en est le point d’orgue) fleurissent
dans les colonnes des journaux et sur le petit
écran une kyrielle de «causeries religieuses». Un
rituel où, il faut l’avouer, brille surtout l’esprit
de conformité et de redondance. Guère de place
aux interrogations vivifiantes, à des réparties
hardies sur les choses de la religion. C’est ainsi
depuis si longtemps que les causeurs et les
conférenciers semblent interchangeables. Si à la
mosquée, la doxa est de rigueur, on se serait
attendu dans les médias à plus d’originalité.
Mais il y a quand même l’exception qui
confirme la règle. Ne citons personne pour ne
heurter aucun. Restons dans la convenance
ambiante. Or, la mort de Mohammed Arkoun a
en quelque sorte chamboulé le paysage médiatique.
Avant même qu’il soit mis en terre qui a
donné lieu à moult commentaires et controverses
sur «l’ingratitude étatique», le lecteur intéressé
a eu droit à des contributions d’une
grande qualité qui montrent que pour peu que
l’on force l’habitude (ici dans la triste circonstance
du décès de M.Arkoun) au pays de Ben
Badis (ce dernier n’écrivit-il pas «wa ahzouz
noufous el djamidina , robama hayia el khacheb
que nous traduirons ainsi : «Secoue les âmes
gelées, il se peut que le bois se réveille»), les
esprits éclairés ne manquent, dans les profondeurs
et les marges - de notre société. Gratitude
de la société. Et le meilleur hommage à notre
humble avis, durable et fertile, serait de faire
connaître (par une publication et une traduction
à l’arabe à demeure ) le monument de travail
«Histoire de l’islam et des musulmans en
France du Moyen-âge à nos jours» sous la direction
scientifique de Mohammed Arkoun, préfacé
par l’historien Jacques Le Goff, édition
Albin Michel, 2006. Plus de soixante-dix spécialistes,
historiens et grands témoins retracent,
sous sa direction scientifique 13 siècles d’histoire,
au plan politique, social et culturel. Une
histoire tumultueuse et captivante portée par
des éclairages actualisés et décapants, notamment
de la bataille de Poitiers aux Croisades, en
passant par les penseurs du Moyen âge, l’orientalisme,
la colonisation, la guerre d’Algérie
jusqu’aux débats et enjeux actuels sur l’immigration.
Henry Laurens, professeur au Collège
de France et historien du monde arabe
moderne a qualifié l’ouvrage de «divine surprise.
Nous y reviendrons». Dans la foulée, pourquoi ne
pas réunir dans un ouvrage l’ensemble des textes
publiés à la suite de la disparition de
Mohammed Arkoun ? Dans les universités de
par le monde, il existe une sympathique tradition,
qui consiste à rendre hommage à un professeur,
à l’occasion de son anniversaire ou partant
en retraite, par la publication d’un livre
intitulé «Mélanges». A défaut de voir si tôt l’université
algérienne l’entreprendre, un éditeur
intrépide pourrait relever le défi. Nous nous
permettons de penser à Barzakh qui vient d’être,
à juste titre, honoré par un prix international
pour son travail, et qui a déjà publié un ouvrage
de M.Arkoun…Et nous terminerons notre
chronique par sa parole sur «l’effervescente
polarisation idéologique» : «Des prétextes insignifiants
en eux-mêmes sont instrumentalisés pour
enflammer les passions, multiplier les anathèmes,
accroître le bruit médiatique, consacrer le triomphe
de la pensée jetable; le tout alimentant un
dangereux désordre sémantique et l’effritement de
la conscience civique». Entre les deux protagonistes-
Islam/Occident, on oppose avec une égale
arrogance, sur la base d’ignorance et de préjugé,
des croyances-vérités garanties par la Parole de
Dieu aux certitudes scientistes, laïcistes et culturalistes
se réclamant de la modernité de bazar.
Les uns brandissent le respect de la liberté religieuse
sans reconnaître que la foi et les croyances
par eux invoquées sont soustraites à toute
investigation critique depuis le XIIe siècle, pour
des raisons internes à la gestion du fait islamique
dans l’histoire; les autres continuent de proclamer
les «valeurs émancipatrices» d’une modernité
dont les démissions intellectuelles, les dérives
mytho-idéologiques notamment depuis les débuts
de la colonisation, sont tout autant maintenues
dans l’impensé, rendant impossibles les nécessaires
débats clarificateurs sur les problèmes noués
depuis le Moyen âge»… On a parlé d’Arkoun
comme le «second Ibn Khaldoun». La comparaison
est d’envergure et sans doute méritée (quoique
une nuance s’impose. Arkoun n’était guère
en odeur de sainteté dans les cours). Espérons
seulement que son oeuvre, à l’instar du «père de
la sociologie», ne prendra pas autant de temps
pour être mieux connue, étudiée et prolongée,
dans le monde arabe et en premier lieu dans sa
terre d’origine. A. K.
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22/09/2010
Nuage de poussières
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HOPE
http://www.youtube.com/watch?v=lVSmLpNK45Q&feature=player_embedded
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20/09/2010
REVUE NOUVEAUX DELITS N°37
Revue de poésie vive et dérivés
Oct. Nov. Déc. 2010
Le retour… peut-être pas éternel mais retour quand même.
Après une pause estivale, la première depuis les 7 ans d’existence de la revue, il en fallait vraiment une, voici donc la rentrée avec de légers changements - car il y a un moment où il faut secouer les habitudes sous peine d’encroûtement et de lassitude de part et d’autres, chez vous lectrices-lecteurs et chez moi, femme-orchestre certes, mais certainement pas machine à fabriquer une revue. C’est donc avec un plaisir renouvelé que je vous présente ce numéro trente-sept, qui je l’espère vous titillera les fibres sensibles. C’est le dernier numéro de cette année 2010, nous nous retrouverons donc en janvier, d’ici là bien des feuilles seront tombées, mais sans aucun doute que leur compost sentira bien meilleur que l’odeur actuelle de ce pays.
CG
On peut compter le nombre de pommes dans un arbre, mais l'on ne peut jamais compter le nombre d'arbres dans une pomme.
Proverbe Rom
AU SOMMAIRE
Délit poétiques et dérivés :
Frédérique Mirande (Pyrénées-Atlantique), poèmes extraits d’Entrée en ma terre
Michel Host (Paris), Qu’êtes-vous, femmes, devenues ? XXIV onzains royaux (version intégrale)
Francis Gast (Strasbourg), cinq poèmes
Jean-Marc La Frenière (Québec), quatre textes inédits
Xavier Lainé (Alpes de Hte Provence), Poétique d’évolution « Mettre ensemble les fragments épars d’une pensée puzzle »
Délit de mémoire : Jean-Marc Couvé (Seine Maritime), Battu (extraits)
Délit de résonance : une revue, un film, un livre.
Illustrateur :
Jean-Louis Millet
10:56 Publié dans LA REVUE NOUVEAUX DELITS | Lien permanent | Commentaires (0)
19/09/2010
Anicet vous attend le 25 septembre, au Salon de la BD à Cajarc
12:26 Publié dans COPINAGE | Lien permanent | Commentaires (0)
17/09/2010
La Ruée vers l'Art, Cahors, 18 & 19 septembre
L’association Reg’Arts Lot dont le but est la promotion, la création et la diffusion des arts plastiques et des arts visuels, est présente depuis 5 ans dans le paysage culturel et artistique lotois.
Dans le cadre de ses activités en direction des artistes professionnels du département du Lot (46) et de Midi Pyrénées essentiellement, elle organise, pendant les Journées du Patrimoine, les samedi 18 et dimanche 19 septembre 2010, un week-end de rencontres avec le public « La Rue est vers l’Art », parcours d’exposition-vente dans le centre historique du vieux Cahors. Cet évènement est organisé avec le soutien de la ville de Cahors, de la Mjc, de la Libraithèque « Le droit à la Paresse » et du Centre Social et Citoyen du vieux
Le samedi 18 septembre, vous pourrez m'y retrouver, avec recueils et gribouglyphes
voir : http://ledecompresseuratelierpictopoetiquedecathygarcia.hautetfort.com/
ainsi que le premier livr'art édité par l'association : Etats du Big Bang, et en avant -première le tout nouveau numéro de la Revue Nouveaux Délits (n°37).
18 septembre, à 09:00 - 19 septembre, à 19:30
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Dans le centre historique du vieux Cahors- Quartier St James - Midi Pyrénées
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16:51 Publié dans CG - QUOI DE NEUF? QUE FOUS-JE ? | Lien permanent | Commentaires (0)
11/09/2010
Appel à soutien pour que vive le GFEN
Lire
Annonce brutale de coupes sombres début juillet : arrêt du soutien d'un de ses deux détachés par l'Éducation Nationale et du subventionnement de ses projets par le Haut Commissariat à la Jeunesse. Appel à soutien "pour que vive le GFEN"....
Pétition à signer en ligne
http://www.gfen.asso.fr/fr/signer_1
13:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
10/09/2010
8° festival du film documentaire engagé (Canton de Bretenoux - Lot)
ÉTRANGES ÉTRANGERS
PARTIE 1 > ENFERMEMENTS
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vendredi 24 et samedi 25 septembre 2010
canton de Bretenoux (Lot)
en présence des réalisateurs
libre participation aux frais
programme complet sur :
http://leliencommun.org/festdoc
> Télécharger le flyer 2010 (part 1) (format pdf) - Matrice pour un A4 recto/verso
> Télécharger l'affiche 2010 (part 1) (format jpg)
organisation : La Parole a le geste • informations : tels : 05 65 11 61 75 / 06 50 81 45 42 / mel : laparolealegeste@laposte.net / Office de tourisme “entre Cère et Dordogne“ : 05 65 38 59 53 • site Internet : http://leliencommun.org/festdoc • avec le soutien de : Communauté de communes “entre Cère et Dordogne”, Mairie de Bretenoux, le CNRS, , l’Université de Paris 7, le Ministère de la Culture • avec la participation des associations : Le collectif Palestine (Figeac), Artrom (Association des artistes Rom en France), La Bobine (Gourdon), Ayawa (Gramat)
21:11 Publié dans COPINAGE | Lien permanent | Commentaires (0)
07/09/2010
L'Intrus - fragments du récit d'une humiliation en milieu domestique - de Joaquim Hock
Joaquim Hock, artiste belge, qui a été pendant longtemps l'Illustre Illustrateur Attitré de la Revue Nouveaux Délits a publié en août 2010 son premier roman (qu'il me pardonne le délai de la "pub") dont un extrait avait été présenté dans Nouveaux Délits n° 28 (mai 2008) avant de trouver un éditeur donc : Durand-Peyrolle http://www.editions-dp.com/hockjoaquim.html
Je vous incite à le lire au plus vite !
Vous pouvez lire un interview de l'auteur ici :
http://nondenon-webzine.blogspot.com/2010/09/cherchez-lintrus.html
Blog autour du livre : http://intruslelivre.blogspot.com/
16:25 Publié dans COPINAGE | Lien permanent | Commentaires (1)
Expo Françoise Cuxas à Decazeville (12)
14:51 Publié dans COPINAGE | Lien permanent | Commentaires (0)
06/09/2010
Croissance, décroissance, c'est quoi ?
12:38 Publié dans ALTERNATIVES | Lien permanent | Commentaires (0)
de l'animation au récit érotique
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buffets en fête
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cathy et ses poésies d’été
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dans la poésie quels sont les poètes engagés et dans quelles
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l'ancienne gare de cahors poésie
l'arrestation des juifs en poésie
le plus beau chien du monde
les akuntsu
les statues meurent aussi
les voleurs a tarragona
lettre d'amnesty des sans papier
nous sommes arrivés pour prendre ce qui nous appartient
orchestre poetique d'avant guerre
petit pois datura
peuples premiers indiens nus photos
poésie et logique
poésie l'échelle des mois
poésie nationaliste danger
poésie non engagée
rechercher chattes italiennes
tetracycline ou antibiotique
touareg bleu recit erotique
12:29 | Lien permanent | Commentaires (1)
Objecteurs de croissance 2012
Lisez, et si vous approuvez, signez et faites circuler, merci !
http://objecteursdecroissance2012.fr/?chemin=accueil#appel
11:59 Publié dans AGIR | Lien permanent | Commentaires (0)